Pucelle libertine - Histoires de Sexe

Pucelle libertine

... frissonne-t-elle de la voix et du corps.

Je continue en y ajoutant mes doigts éthérés sur ses flancs. Elle est en chair de poule. Ses mains courent sur son pubis.

— Alban, tenez-lui les mains par-derrière. Merci.

Je continue mon manège en descendant. Ma langue fend le minou jusqu’au clito et là, elle se déchaîne. Edwige aussi ! Le garçon lui a lâché les mains pour profiter de sa poitrine. C’est un orgasme rondement mené. Et debout s’il vous plaît.

Comme je suis accroupie, j’ai la queue d’Alban sous le nez. Je te la gobe sans rien demander pendant qu’Edwige récupère accrochée à son cou. Je suis toute délicatesse pour le séduire. Il s’est rasé le pubis et picote par-ci par-là. Je le regarde par en dessous, il sourit béat. Il pince des lèvres, et hop, il éjacule. À peine fini, il me lève pour me galocher ne craignant ni ma bouche, ni ma langue collante de son sperme.

Il y a un petit flottement dans l’air, je dis :

— Faisons un coucou aux spectateurs, ça veut dire que c’est fini.
— On les avait oubliés, ceux-là, dit Alban.

Edwige me prend par la main :

— Caro, tu m’as fait entrevoir des choses sympas entre nanas et avec une nana sympa.

Alban me prend l’autre main, la porte à ses lèvres pour un baiser :

— Caroline, nous ne pouvons en rester là, me fait-il, les yeux plus que doux tout en me caressant une fesse.

Je prends une décision à l’emporte-pièce :

— Allons au bar, je vais vous expliquer.

Ressentant de bonnes ondes entre nous, je ne ...

... vais pas hésiter à leur confier mon petit secret. Installés dans un recoin, boisson à la main :

— Je suis toujours vierge. Je suis partagée entre la fellation et le cunni. Vous comprenez le truc ?

La tête d’Edwige, qui ne dit que :

— Toi alors !

Alban pense autrement :

— Une vierge dans un club libertin, Caroline, vous êtes exceptionnelle, bravo !

Ça fait plaisir à entendre.

Pour contrer son regard qui me trouble, je mets des barrières :

— Je suis une fille à filles. Avec la fellation, je fais savoir que le garçon n’est pas mon ennemi.
— Votre façon de voir est originale, rit-il.
— Tu comptes rester pucelle encore longtemps ? demande Edwige.
— Je me garde pour l’homme de ma vie, dis-je en lorgnant sur Alban.
— Eh bien, si t’as pas compris, t’es l’idiot du village, rit Edwige en lui secouant le bras.

S’il y en a un qui est mal à l’aise, c’est bien lui. Elle se tourne vers moi :

— Saute le pas, tu ne profites même pas des vibros !
— Je sais, je sais…soupiré-je.

**********

C’est pratique de dormir sur place, mais il y a un aléa, nous sommes complètement déconnectés de la vie extérieure. Devant le bol de café matinal, mes pensées cheminent d’Alban à Edwige. Nous nous sommes échangé nos 06 avec la ferme intention de nous revoir dans le monde extérieur. Je pressens une belle aventure.

Ce dimanche soir, je croise Roger :

— Vous avez perdu Suzy ?
— Madame a un gros appétit ces jours.
— Et vous, cher Roger, une petite gâterie pendant que ...