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Pucelle libertine
Datte: 23/02/2023, Catégories: fh, ff, jeunes, vacances, boitenuit, amour, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation intermast, Oral 69, nopéné, jeu, init, initiatiq, lesbos, Auteur: Mince-alors, Source: Revebebe
... être surdiplômée sans emploi ? ********** Edwige, Alban Le lendemain, après un coup de fil à Edwige, je préviens Maman que sortant avec une copine, je ne coucherai pas ici ce soir. Rendez-vous dans le bar branché du moment. Nous nous embrassons comme de vieilles amies. Devant une boisson fraîche, elle me dit tout de go : — Salope ! Tu as mis le grappin sur mon coloc, je m’étais bien habituée à lui. — T’es bouchée pas possible, j’te le pique pas, je te l’emprunte. Une fois dépucelée, je te le rends. Il y a des liens très forts entre vous. — L’amitié. Nous baisons pour nous détendre l’esprit, point barre. Je vais t’avoir à l’ œil, il en pince pour toi grave, alors fais gaffe. Si tu le largues après qu’il a fait son boulot, gare à toi. — Tu te conduis comme une mère poule. — Sexuellement, Alban n’est pas mon idéal. On ne peut pas aimer que de cœur. — Si ça ne me plaît pas, j’en fais quoi, du chéri ? — Fais-toi prendre par-derrière, ça marchera peut-être. — Tu sais quoi, je vais le faire aussi. Il paraît que le garçon aime ça parce que ça le serre. — Finalement, y en faut peu pour faire plaisir, rigole Ed. Caro, on passe un marché. Moi, y me baise par-devant, toi par derrière. Tope là !, me tend-elle la main. Je tope en disant : — Attends que j’essaie. Et nous partons dans un fou rire… Spontanément, nous échangeons une galoche rapide. La serveuse sourit de notre complicité. — Edwige, il y a une boîte de nuit lesbienne pas loin, je t’y invite un ...
... soir. — J’ai encore un examen à passer et après c’est quand tu voudras, me sourit-elle. — Au fait, le cabaret, c’est mon job d’été jusque début septembre. — Y a pire comme boulot. — Mes parents ont bien pris la chose. — C’est chouette. Je me demande ce que diraient les miens. Nous discutons sur nos projets, sur l’actualité estivale. Le temps passe. — J’ai faim, dis-je. — Je connais un bar à brochettes, ça te dit ? Après les brochettes, direction la coloc d’Ed. Nous avons passé une nuit fort agréable toutes les deux. Edwige n’en revient pas du bien fou que procure le sexe entre filles. — Caro, tu sais quoi, il me manque quèque chose, la virilité du mâle. — Ça, agité-je le vibro. — Je suppose que c’est un réflexe hétéro. Toi, t’as lequel ? — Euh…Sais pas. — Je vais t’étudier à l’avenir. — Tu veux que notre amitié dure ? — Pas toi ? — Que si ! Et Alban dans tout ça ? demandé-je en lui mettant en route le vibro que je lui introduis. — Salope, qu’elle me dit en riant. N’empêche qu’elle laisse bien faire. Elle continue : — T’es amoureuse ou c’est vraiment pour le jeter après ? — Imagine que sexuellement ça ne colle pas, je fais quoi ? C’est le seul garçon qui m’a fait des trucs à l’intérieur. Et puis ma liberté… — T’inquiète pas, il n’est pas possessif. Ni collant. C’est agréable de faire l’amour avec, délicatesse et virilité. Tu me le prêteras de temps en temps. — Il n’est pas ma propriété ni moi la sienne. — Tu sais ce que tu veux ! Je lui ...