Les enfants du Bon Dieu (4) - Histoires de Sexe

Les enfants du Bon Dieu (4)

... partie une queue est venue se frotter à mes lèvres.

Pas plus que je ne garde avec précision le déroulement des faits. Ce dont je me souviens parfaitement c’est bien de me vautrer toute seule sur le gros qui ne peut guère se mouvoir. Et que sa queue qui me remplissait a vite été rejointe par une seconde. L’énormité de ces deux vits réunis m’a fait hurler et pas forcément de douleur. Mais ce dont je suis certaine, c’est qu’alors que Dominique et Romaric ensemble me liment, mes regards se noient dans ceux du vieux Maxime qui ne baisse pas les yeux.

Il m’a même pris la main à différents moments, comme pour m’encourager à me dévergonder davantage, notamment lorsque Romaric tient absolument à emprunter le passage le moins usité. Et c’est bien à quatre pattes avec les prunelles rivées à celles du vieux pervers que je me donne analement à son notaire… un test amant d’un nouveau genre en quelque sorte. Après, les scènes évoluent en fonction de l’humeur de l’un et de l’autre de mes baiseurs, sans que je renâcle pour prendre les positions qu’ils veulent. Toujours sous le regard de mon mentor !

Je me suis endormie sans demander mon reste, après ces tumultueux ébats. À ma sortie du pays des songes, seul Maxime est encore là. Il me regardait sans doute dormir depuis un long moment, sagement installé à mon chevet. Mon esprit totalement désembrumé, je me suis levée, assez difficilement, tous mes muscles ankylosés.

— Wouah… j’ai l’impression d’être passée sous un rouleau ...

... compresseur. Vos amis sont partis ?

— Oui… depuis au moins deux bonnes heures. Ils m’ont chargé de te remercier et de te saluer. Tu leur as fait grande impression.

— Eux aussi à en juger par ces douleurs et courbatures dont mon corps se souvient visiblement !

— Je ne crois pas que tu as donné ta langue au chat…

— Au chat non, mais Dominique et Romaric en ont bien profité apparemment.

Mon hôte rit… je n’arrive pas à le suivre sur ce terrain.

— Il est possible de prendre une douche ?

— Va ! Tu sais où elle se trouve non ? Tu es ici chez toi et à ce titre, fais ce qui te plait. Tu déjeunes en ma compagnie ?

— Hein ?

— Je te demande si tu veux manger avec moi…

— Vous avez quoi au menu ?

— Rien… mais le restaurant en face lui a une carte sublime.

— Ah… alors dans ce cas, pourquoi pas ?

— oooOOooo —

L’horloge de l’église sonne seize heure, lorsque j’ouvre ma porte. À ma grande surprise, je trouve, glissé sous celle-ci, un petit mot de ma belle-sœur. Elle me précise qu’elle est venue, et qu’elle aimerait avoir de mes nouvelles. Je ne sais pas trop si moi j’ai bien envie de reprendre contact. Après moult hésitations, je finis par décider que Michel serait content que je fasse un pas vers eux. Alors pourquoi pas… et c’est ainsi que je prends mon portable pour l’appeler. À la première sonnerie, elle décroche.

— Ah Claude. Comment vas-tu ? Tu as donc trouvé mon petit bristol ?

— Ben… je suppose que tu l’avais mis de manière à ce que je le ...