1. Troisième wagon, en partant de la locomotive


    Datte: 01/09/2018, Catégories: fh, rousseurs, train, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme préservati, pénétratio, jeu, Auteur: Lise-Elise, Source: Revebebe

    ... que je descends. Mon baiser redouble d’ardeur.
    
    Le train ralentit, s’arrête. Pas moi. J’entreprends, à travers le tissu, de caresser le sexe tentateur. La porte s’ouvre.
    
    — Excusez-moi !
    
    La voix, gênée, fait se raidir ma compagne. L’intrus a déjà pris la fuite. Je relâche mon étreinte, hume sur mes doigts son parfum. Je soupire :
    
    — Quel dommage…
    — Quoi donc ?
    — Déguster cette merveille ne va sans doute pas être possible. Ma très chère, il faudra me promettre de nous revoir, dans d’autres conditions.
    
    Elle penche juste la tête, son regard en dit long. Le jeu est ainsi. Tout dépend de moi. Je m’attaque au bouton de son chemisier, l’invite à agir de même sur ceux de ma braguette. La liberté de mouvement rend aussi mes pensées plus claires. Je rêve de cette bouche, de cette langue, mais je la connais assez pour savoir qu’elle en sera frustrée. Sortant un sein du bonnet de soutien-gorge, je m’interroge à haute voix :
    
    — Il faut que je choisisse, donc… Combien de temps avons-nous, une demi-heure ? Ça semble suffisant… Voyons, quels choix ai-je donc. Cette main pourrait, peut-être…
    
    Je n’ai pas besoin de l’encourager. Comme moi tout à l’heure, à travers le fin tissu de mon caleçon, elle alterne pressions douces et fortes, découvrant les formes de mon membre. La voix un peu rauque, je reprends :
    
    — Ou bien je pourrais profiter de cette jolie bouche, non ?
    
    Le baiser qu’elle m’offre est un peu réticent. Je retourne à son sein que j’agace, entre deux phrases ...
    ... :
    
    — Pas la bouche, non. J’en rêve, pourtant. Tout à l’heure, je te demanderai de l’embrasser. Mais je vais être magnanime. À vrai dire, je suis tenté par ton cul, tout autant.
    
    Je sens sa crispation. Pourtant, elle s’abandonne quand je l’embrasse à nouveau. Je m’interroge. Faut-il que j’ose ? Ça me paraît trop, pour une première fois. Je pousse un peu l’avantage.
    
    — Tiens, mets-toi à genoux sur le siège, que je le regarde.
    
    Elle m’obéit. Elle n’a pas dit un mot depuis que le contrôleur est passé. Elle peine à maintenir son équilibre, signe évident de son émoi. Je relève la jupe, baisse immédiatement la culotte, juste en dessous du renflement des fesses. Là aussi, elle est constellée de taches de rousseur. J’appuie légèrement sur sa hanche pour qu’elle se penche encore, me permettant de mieux voir. Elle a un cul de femme, lourd, pas tout à fait régulier sous la main. Avec des creux, des reliefs, des mollesses, des fermetés. Je passe, furtivement, la main sur ses lèvres intimes. Ce frôlement suffit à la faire frissonner. En la contemplant ainsi, culotte à peine descendue, magnifiquement indécente, je sais simplement ce que je vais choisir.
    
    Je lui demande d’abord de jouer de sa langue. Elle a compris que ce ne serait qu’une mise en bouche, et alterne pressions franches et légères, caresses et succions. Elle se borne à parcourir la tige. C’est moi qui l’incite à goûter aussi le gland.
    
    Je l’arrête avant d’y prendre trop de plaisir. Je me lève. Elle s’efface, je passe ...
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