La correctrice (3) - Histoires de Sexe

La correctrice (3)

... toujours pour me baiser comme la salope que je suis devenue et avec bien plus que du plaisir. Cette fois, il m’encule et presque à sec. Bien qu’habituée, je pousse un long soupir de cette brulure dans mon fion. Devant moi, le Saint Graal, l’adorable minou de ma Maîtresse. Ma bouche se colle tout contre et ma langue déguste ce délectable fruit.

— Je la crois prête à une partouze, tu ne crois pas Jacques ?

— Mouais, mais j’y mets une condition, que tu sois aussi ma soumise pour cette soirée.

— Miam, voilà qui devrait me plaire si on ne fait pas que me baiser.

— Certes non, j’ai quelques amis qui sont très friands de femmes aussi dociles que masochistes comme toi. Et puis je crois qu’il est temps pour toi de reprendre ta place, tu ne crois pas.

— Si tu te comportes comme hier, alors oui.

Annick se glisse près de moi qui suis toujours enculée, elle vient lécher les burnes de Jacques en une docile soumise. Elle va même plus loin en se plaçant derrière mon Maître... En fait non, je devrais dire notre Maître. Elle lui enfonce sa langue dans le cul et il pousse un merveilleux grognement.

— Continue esclave, lave mon cul comme t’aimes !

Je jouis peu après en sachant ma Maîtresse ne plus être que mon égale et même bien plus que mon égale. Je veux la suivre, devenir comme elle, sans pour autant ...

... devenir comme elle, une masochiste. Jacques se sent soudainement terriblement puissant et il en a le droit devant ses deux salopes. Quand il me redresse, c’est pour me gifler mes seins que je lui présente en lui souriant. Oh certes, il ne les gifle pas avec violence, non, juste pour me donner le sentiment que je passe de soumise à esclave.

Un mois plus tard, je n’ai plus mon appartement. Je suis chez mon Maître, Maître Jacques. Je ne vais presque plus à mon bureau, je corrige tout depuis mon ordinateur, chez mon Maître, enchaînée par une cheville à mon bureau. Une femme merveilleuse, pendant ce temps, entravée, fait le ménage. Ensemble, nous avons tout loisir de jouir conjointement. Annick est toujours ma guide et elle le restera aussi longtemps que nous nous aimons. Donc, ce n’est pas terminé.

L’année suivante, devant une douzaine de femmes et d’hommes, ma merveilleuse compagne et moi, nous nous faisons marquer au fer rouge sur notre fesse gauche. Un J qui fera de nous les esclaves de notre Maître.

Depuis, Annick et moi sommes inséparables quand il s’agit de se faire baiser de partout et ce n’est pas notre Maître qui va vous dire le contraire. Ah oui, depuis le livre d’Annick, je ne corrige plus que des manuscrits SM ou fétichistes. Je vous abandonne ceux à l’eau de rose.

A un de ces jours peut-être. Bye !!!