La correctrice (3) - Histoires de Sexe

La correctrice (3)

Sans retirer mon bandeau, ma Maîtresse ou cet homme, m’entraîne plus loin. Un vent frais glisse sur mon corps, provoquant un merveilleux frisson.

— Là, si tu veux te la faire, personne ne va nous voir. Obéis toi !

Si le début de la phrase est pour celui qui va me baiser, la fin est pour moi et c’est un ordre à qui il me plaît d’obéir.

L’homme me penche en avant, ma Maîtresse pose mes mains contre un mur et la bite de l’homme glisse dans ma chatte. Jamais, mais avec mon dernier ex, comme avec le premier du reste, je ne m’étais sentie aussi merveilleusement bien. Quand la cravache de Mademoiselle frappe mon dos. Je soupire de félicité. Même que ma Maîtresse dit à l’homme que j’aime ça et vlan, encore un bon coup sur ma croupe. L’homme respire très fortement. Il se penche parfois sur moi pour mordiller soit mes oreilles ou ma nuque et je ne déteste pas. Je ne puis parler, perdue dans mes fantasmes, dans ce putain de merveilleux manuscrit. Je veux jouir, oui, je ne veux plus que ça. Mais voilà, ma Maîtresse en décide autrement en m’agenouillant de force et cet homme de m’enfoncer sa bite dans ma gueule de salope. Je le suce, pourtant je ne suis pas encore l’experte que je devrais être. Si mes dents effleurent sa queue, il me gifle et pas tendrement. Putain, voilà que ma Maîtresse augmente la difficulté.

Si ma tête est complètement sens dessus dessous, mon corps en veut encore. Il est si chaud que l’extrémité de la cravache qui se pose sur mon minou me fait exploser ...

... telle une bombe atomique. L’homme me jute dessus. Ce sperme qui me coule sur mon visage et mes seins, ça me fait jouir à nouveau et je tombe, terrassée par cet orgasme démoniaque. On me relève, on m’assoit sans pour autant me retirer mon bandeau. L’homme est assis près de moi, sa main sur mon épaule.

— Tu vas bien ma petite Isabelle ?

Merde de merde, c’est Jacques !!!

— Oui Jacques, je vais même très bien, merci.

Le bandeau m’est enfin enlevé. Je vois le visage souriant de mon patron. Il baise ma joue. Je prends sa tête entre mes mains et lui roule un patin d’enfer pour le remercier de m’avoir baisée aussi bien. Il me caresse mon corps. Il me confie m’avoir donné ce manuscrit de manière délibérée afin que je me libère de mes inhibitions. Et en cela, il a parfaitement réussi. Mademoiselle se pose à ma droite. Je me tourne vers elle pour lui avouer vouloir continuer jusqu’au bout du chemin, jusqu’à mon dernier souffle. Mademoiselle me serre dans ses bras, m’embrasse de partout pendant que Jacques plonge son majeur lentement en mon cul. Je me pose à genoux sur le banc, mon cul en direction de mon patron. Il saisit sa chance et me sodomise tout en douceur. Cet enculade est d’autant plus merveilleux que ma Maîtresse se couche sous ma chatte pour me la lécher divinement. Je me couche sur son corps pour lui rendre la pareille.

Dans ma tête, une prière se forme, je prie pour que cela ne soit pas qu’une seule et unique fois que Jacques me baise ou m’encule comme il le ...