La correctrice (3) - Histoires de Sexe

La correctrice (3)

... pour ne pas ameuter nos collègues. Il mordille ma nuque pour signer son acte. Je me laisse glisser jusqu’à avoir mon visage devant ses chaussures que je me mets à lécher.

— Tu sais que je n’ai jamais vu une femme changer aussi radicalement.

— Mon Maître doit savoir qu’il pourra m’utiliser comme il le désire à l’avenir.

— Ton Maître. Tu sais que cela sonne bien à mes oreilles.

— Aux miennes aussi, mon bon Maître. Mmmh, cette fessée fut divine.

— Donne-moi ta chatte ou ton cul, choisis, ma petite chienne.

— Ouaf !

C’est mon cul que je lui offre. J’ai soudainement envie qu’il me défonce. Cela dit, il s’en va fermer à double tour, la porte de mon bureau. Quand il s’enfonce en moi, la brulure est presque intenable. Mais après, que du bonheur. Surtout que mon Maître ne se gêne pas pour encore me fesser divinement. Quand le téléphone sonne, c’est lui qui répond en maintenant ma tête de petite chienne sur le lino de mon bureau. C’est ma Maîtresse, Jacques lui apprend ce que nous faisons, comme je l’ai nommé, ben oui, Maître. Et puis ma Maîtresse désire me dire quelques mots. À mon oreille, sa voix n’est que réconfort et encouragement. Elle m’ordonne d’obéir en tour avec Maître Jacques. Mais comment pourrait-il en être autrement ? J’avoue à ma Maîtresse que je ne voulais faire différemment. Que je les voulais tous deux comme mes Maîtres. Bisou et rebisou, Maîtresse Annick coupe notre communication.

En mon rectum, un homme très généreux jouit tout son saoul en ...

... moi. Son râle comme un chant glorieux en mes oreilles. Il m’assène une toute dernière claque sur mon cul de chienne et je jouis comme la chienne que je suis. Puis il se fait sévère.

— Dès demain, j’exige que tu commences à déménager tes affaires chez moi. Je veux que tu quittes ton appart pour venir vivre avec moi. Y a trop longtemps que j’ai une putain d’envie de te mettre dans mon plumard pour ne pas attendre davantage. Bien entendu, Annick ne rejoindra une fois ses affaires réglées. En l’attendant, c’est moi qui serais ton Maître.

— Avec un immense plaisir mon Maître. Puis-je vous remercier ?

— Si tu veux.

Je me suis emparée de sa belle queue pour la lui sucer. Le goût âcre m’électrise encore. Il m’oblige à me branler comme la dernière des salopes. Plus je goûte au monde de ma Maîtresse, plus je veux aller de l’avant, m’enfoncer pour ne plus en ressortir. Quand il éjacule, c’est sur mon visage et non dans ma bouche.

— Reste comme ça, ne t’essuie surtout pas. Je vais veiller à ce qu’on ne te dérange pas jusqu’à que je vienne te baiser, sale petite chienne.

— Ouaf ! répond la chienne que je veux être.

Il sort, refermant à double tour ma porte. Me voilà prisonnière de mes fantasmes naissants. Alors je plonge tête baissée dans ce manuscrit. Il est tout juste midi quand j’en termine et avoir joui je ne sais combien de fois. Je me suis même surprise de jouir quand Annick décrit dans le moindre détail son marquage au fer rouge. Devenais-je complètement folle ? ...