Dans le noir tout est permis
Datte: 30/08/2018,
Catégories:
fh,
grp,
jeunes,
cocus,
copains,
plage,
jalousie,
préservati,
pénétratio,
jeu,
journal,
Auteur: SophieF., Source: Revebebe
... genoux sur le béton rugueux j’ai entouré de mes bras ses fesses dures et frémissantes que j’ai pelotées en baissant son slip et j’ai approché ma joue de son mandrin qui palpitait comme un cœur. Comme mon cœur qui battait follement. J’ai enfin touché les chaussures : des tongs. Ce n’était donc pas Laurent, qui avait de vieux mocassins. Je me suis relevée, j’ai pris les mains de ce garçon pour les détacher de sa nuque et les appliquer sur ma poitrine, en regrettant de n’avoir pas enlevé mon top. Une pulsion irrépressible, Votre Honneur ! Mais il s’est mis à malaxer bien trop vigoureusement mes pauvres seins si sensibles, alors je l’ai repoussé et je suis partie.
C’est le dos du suivant que j’ai touché en premier lieu. Mes bras autour de son thorax, mon bas-ventre contre ses fesses. Mes doigts pinçant ses tétons. J’ai tourné autour de ce corps. Pas pris la peine de me pencher pour vérifier les chaussures, c’était Laurent j’en étais sûre. Mes bras autour de sa taille, mon pubis contre le sien, mes lèvres s’approchant des siennes. Et cependant la pensée fugace que Laurent était un peu plus grand sans doute. C’est alors qu’il a triché, ce garçon ; il m’a emprisonnée dans ses bras. Une petite barbe de trois ou quatre jours a chatouillé mes lèvres pendant que sa langue se heurtait à mes dents fermées.
Le seul garçon qui avait la coquetterie d’être mal rasé était un bellâtre à l’air suffisant qui regardait toutes les filles comme s’il s’agissait de proies disposées à lui ...
... tomber dans les bras. Mais ses lèvres étaient voraces et ses bras vigoureux. Et il est parfois doux de se sentir innocente proie, surtout dans le noir absolu. J’ai entrouvert les dents, sa langue a pénétré dans ma bouche et a brièvement rencontré la mienne. On m’a dit que les prostituées refusaient tout baiser à leurs clients, le reste étant à leurs yeux (si j’ose dire…) quantité négligeable. C’est en y pensant que j’ai repoussé le mal rasé, les deux mains sur sa poitrine. Mais il voulait me garder et sa bouche continuait à chercher la mienne, errant sur mes joues, mon menton, mes lèvres cette fois obstinément closes. Je me suis dégagée quand même. Il avait dû penser pouvoir aller avec moi dans l’autre salle. Raté, mon bonhomme !
Je me suis éloignée. Je cherchais Laurent, tout en sachant que je risquais de retomber sur un des garçons que j’avais déjà tripotés. Je me suis en effet heurté à celui dont j’avais descendu le boxer sur les genoux. Du moins, il m’a bien semblé que c’était celui-là. J’ai un peu palpé, distraitement. Le faire jouir entre mes mains ? L’idée m’a fait sourire. Mais je suis bonne fille, et n’ai pas voulu lui jouer ce mauvais tour. Mais saurait-il, lui, me caresser les seins sans me brutaliser ? Il savait. Des mains et de la bouche.
— On ne bouge plus ! a soudain crié Thomas.
Et il a allumé sa lampe. Il tenait une fille par la main. Ce n’était pas Sylvie. Celle-ci était dans les bras du mal rasé.
— Tu vas à côté avec David, ma chérie ? lui a demandé ...