1. Dans le noir tout est permis


    Datte: 30/08/2018, Catégories: fh, grp, jeunes, cocus, copains, plage, jalousie, préservati, pénétratio, jeu, journal, Auteur: SophieF., Source: Revebebe

    ... J’éteindrai ma lampe, nous serons donc dans le noir total, il nous sera interdit de bouger et nous aurons les mains sur la tête, sauf si vous nous les prenez pour les mettre… sur une partie ou une autre de votre corps pulpeux. Vous, les filles, vous aurez à choisir l’un de nous pour revenir ici avec lui. Il est évident que personne ne doit parler. J’emporte ce réveil, qui sonnera dans un quart d’heure. Il y a des préservatifs dans le sac de plage.
    
    J’ai estimé qu’il me serait toujours possible de faire cesser ce petit jeu s’il allait trop loin à mon gré, surtout avec un autre que Laurent. Mais il faut que je sois franche : l’idée de tripoter des mecs en slip de bain dans le noir absolu me ravissait. Thomas a lâché Sylvie et s’est penché pour prendre la lampe. Il a éclairé le couloir devant lui et il est parti, suivi par les autres garçons.
    
    Quelques instants plus tard, après une marche hésitante, j’ai compris que je n’étais plus dans le couloir et très vite mes mains rencontrèrent un dos tiède barré par une attache de bikini. La fille se mit à glousser. Plus loin je me suis trouvée quasiment dans les bras d’une autre fille, dont j’ai touché involontairement les seins gros et mous. Sylvie, ai-je pensé. Me heurtant à un mur, j’ai obliqué sur la gauche et enfin rencontré une poitrine masculine. De doux poils sous les aisselles, des côtes sans graisse inutile. Ce pouvait être Laurent. Mais sur les hanches un slip de bain en forme de boxer, ce n’était donc pas lui. J’ai ...
    ... caressé la poitrine de ce garçon. Je ne me reconnaissais pas. J’avais quasiment envie de cet inconnu qui m’était comme livré en pâture. Il avait le ventre plat. Qu’est-ce qui pouvait m’empêcher de descendre la main ? Dans le noir je pouvais tout me permettre, si bien que j’ai frôlé son bas-ventre pour savoir s’il bandait. C’était non. « Pas encore, ai-je pensé, mais il ne tient qu’à moi que cela se produise. » Ses bourses, étroitement moulées par le tissu, ont roulé sous ma paume et j’ai constaté que sa verge commençait à se dresser.
    
    Il remuait le bassin tout en rentrant le ventre, m’invitant ainsi à glisser la main dans son boxer. Je n’ai pas résisté à la tentation. Sa verge était ferme et ses bourses si douces que j’ai dégagé le tout en descendant son boxer jusqu’à ses genoux. Et je me suis éloignée avec le plaisir un peu pervers de le laisser sur sa faim.
    
    Mes mains ont touché d’autres mains, je croisais une autre fille. J’allais donc attaquer le garçon qu’elle venait d’abandonner. Une large poitrine un peu poilue aux petits tétons déjà raidis. Mes mains descendues sur le ventre et sur les hanches : un slip étroit, cette fois, et encore en place. Peut-être Laurent, peut-être pas. Des cuisses dures, des genoux solides. Il me suffisait d’aller jusqu’aux chaussures pour savoir s’il s’agissait ou non de Laurent. J’ai préféré rester un moment dans l’incertitude. Ce garçon ne pouvait pas savoir que c’était moi qui étais en train de le palper. Pourquoi ne pas en profiter ? À ...
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