1. Dans le noir tout est permis


    Datte: 30/08/2018, Catégories: fh, grp, jeunes, cocus, copains, plage, jalousie, préservati, pénétratio, jeu, journal, Auteur: SophieF., Source: Revebebe

    Hier j’avais mon bikini bleu, qui va si bien avec mes yeux. Julien, toujours jaloux comme un tigre, avait exigé que je le mette sous ma robe avant de partir pour que je n’aie pas à me déshabiller devant les autres. Il restait en ville pour l’écrit de son concours. Il termine ce matin ; j’en profite pour reprendre mon journal, abandonné depuis belle lurette - depuis que je vis avec Julien dans cette petite chambre de la rue Sainte-Opportune, en fait. Après ce qui vient de m’arriver, j’éprouve en effet le besoin de faire le point.
    
    Laurent était sans Audrey, qui passait l’oral de son mastère. Il m’a fait monter à côté de lui dans sa vieille Clio. Derrière il y avait Thomas et Sylvie. Le regard de Laurent délaissait parfois la route pour se porter sur mes genoux et le peu de mes cuisses que dévoilait ma robe légèrement remontée. Cela m’amusait.
    
    Sur le parking qui surplombe la plage, il a enlevé sa chemisette et son pantalon de toile. Il avait son slip de bain dessous. Thomas aussi. Sylvie a fait glisser jusqu’à ses chevilles, un peu trop épaisses, une petite culotte rose avant d’enfiler un slip de bain rougeâtre. Après quoi elle a enlevé jupe et chemisier. Et soutien-gorge pour mettre son top. Les garçons l’ont à peine regardée. Moi, j’ai ôté ma robe que j’ai pliée sur le siège de la Clio.
    
    Sur la plage, nous avons retrouvé deux garçons et deux filles que je connaissais très vaguement. J’ai compris que cette rencontre avait été concertée. Bientôt, laissant à côté d’eux ...
    ... nos serviettes et nos chaussures, nous nous sommes baignés. Laurent s’est mis à nager vigoureusement, comme s’il cherchait à m’épater. Mais il est vite revenu ; il m’a regardée en souriant, amical. Un peu plus qu’amical. Il a murmuré quelque chose de très gentil à propos de mes yeux, et affirmé que j’étaisabsolument ravissante. J’ai répondu qu’Audrey aussi était très jolie.
    
    — Oui, mais elle n’est pas ici. Et Julien non plus !
    
    Réponse sans surprise, qu’accompagnait un sourire coquin. J’ai souri aussi, déjà un peu complice. Alors que nous étions simplement de bons camarades, j’ai compris qu’il allait me draguer. Un peu de liberté pour une fois, sans un Julien vraiment trop possessif, n’était pas pour me déplaire. Nous nagions lentement, sans nous quitter des yeux, si près l’un de l’autre que nos mains et nos pieds se frôlaient souvent.
    
    Un peu plus tard, couchée sur ma serviette de bain, j’ai demandé si quelqu’un avait de la crème anti-solaire. Laurent s’est alors penché sur moi, a posé sa bouche sur mon épaule pour un petit bisou, m’a dit qu’il en avait dans sa voiture et que nous pouvions monter en chercher. Là-haut, j’en ai passé sur mes épaules et j’ai fait quelques contorsions pour m’en mettre sur le dos. Il a tendu la main pour que je lui donne le tube. Il m’a mis de la crème sur les omoplates, le dos, le creux des reins. Puis il s’est accroupi derrière moi et m’a longuement massé les cuisses, les genoux, les mollets, les chevilles et de nouveau les cuisses, non ...
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