1. Dans le noir tout est permis


    Datte: 30/08/2018, Catégories: fh, grp, jeunes, cocus, copains, plage, jalousie, préservati, pénétratio, jeu, journal, Auteur: SophieF., Source: Revebebe

    ... sans avoir insisté au passage sur l’arrière de mes genoux comme s’il avait su qu’une caresse à cet endroit-là me plaît infiniment. Et comme me plaît encore plus une caresse sur l’intérieur des cuisses, j’ai écarté les jambes pour faciliter le passage de ses mains, le plus haut possible, jusqu’à ce qu’il en arrive à frôler mon slip qui devenait humide, car je fondais de plaisir et mon cœur battait très vite.
    
    Il a posé le tube sur le toit de sa voiture et s’est collé à moi. Il me désirait, c’était tangible entre mes fesses. Il a passé ses mains sur mon ventre pour les débarrasser du restant de crème et les a remontées doucement. J’ai senti son souffle écarter mes cheveux et ses lèvres se poser sur mon cou. Après avoir caressé puis pincé très doucement mes tétons qui pointaient sous le tissu, il a tiré sur le cordon de mon top. Ses paumes venaient de s’emparer de mes seins quand cette idiote de Sylvie, que je n’avais pas vue venir, déclara de sa voix criarde qu’elle s’excusait de nous déranger mais qu’elle voulait un peu de crème, elle aussi. Je l’aurais tuée !
    
    — Vous êtes trop pressés, les nouveaux amoureux. Et trop égoïstes, a-t-elle ajouté.
    
    Je me suis retournée pour la foudroyer du regard. Elle ricanait bêtement. Laurent lui a tendu le tube.
    
    — Je prends le sac de plage, hein ? lui a-t-elle demandé.
    — Oui, a-t-il simplement répondu.
    
    Il a renoué l’attache de mon top après l’avoir bien remis en place sur mes seins qu’il a brièvement caressés une fois de plus au ...
    ... passage, et nous sommes redescendus sur la plage. Laurent avait une démarche un peu raide, à cause de l’autre raideur dont j’étais la cause. Sylvie marchait devant. Il devait la regarder. Il pouvait comparer : elle était quand même trop grosse et elle se dandinait. Elle a étalé ses seins un peu flasques en arrivant sur la plage, après les avoir recouverts de crème luisante.
    
    Naturellement, Julien m’avait fait promettre de ne jamais enlever hors de sa présence le haut de mon bikini. J’en ai quand même dénoué le ruban sans le moindre scrupule avant de m’allonger sur le ventre. Laurent, couché très près de moi, a posé une main sur ma cuisse. Cette main remontait parfois jusqu’à ma fesse, doucement, puis redescendait. Les yeux dans les yeux, nous étions bien. Lorsque je me soulevais un peu, il pouvait admirer mes seins aux pointes dilatées, et il ne s’en privait pas. Il avait envie de moi, et j’adorais cela. Son doigt passait parfois sous l’élastique de mon bikini, montait un peu puis redescendait avant de recommencer. C’était fort agréable mais j’en voulais plus, si bien que je me suis légèrement cambrée pour que sa main vienne se glisser sous mon bas-ventre. Il l’a compris, naturellement. Je frissonnais déjà de plaisir quand je vis que Thomas et Sylvie se parlaient à voix basse en nous regardant.
    
    — Alors, Laurent, on y va ? a soudain demandé Thomas.
    — On y va, a répondu Laurent.
    
    Je l’ai regardé, interrogative. Il me montra, du menton, l’énorme blockhaus qui surplombait ...
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