Le féminin de Maître !
Datte: 18/12/2022,
Catégories:
grp,
candaul,
campagne,
fsoumise,
hsoumis,
Transexuels
Oral
préservati,
Partouze / Groupe
fsodo,
sm,
donjon,
attache,
BDSM / Fétichisme
yeuxbandés,
confession,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... qui sépare la deuxième suit le même chemin. La seconde sphère est plus grosse, mais le muscle ne résiste pas longtemps. Je n’arrive pas à quitter des yeux cette possession étrange, cette barre métallique dont l’arrondi prend toute sa signification en se moulant dans la raie des fesses.
— Tiens-le, me demande le Maître.
Sans réfléchir, je prends en main ce qui maintenant effleure les reins, cet anneau qui me sert de prise. Me voici assistante de cérémonie. Il revient, il tient une sorte de collier qu’il lui installe et, en enlevant l’anneau de mes mains, le relie avec le cou par une corde qu’il tend.
Elle est cambrée. Elle est prisonnière. Je comprends la perversité de l’installation et la corde qui devient la complice des boules.
Il regarde son œuvre. Il bande. De martyriser son amant suffit à le faire bander. Étrangement, cette situation m’excite moi aussi.
Je suis la douceur. Mes mains caressent cette poitrine de rêve. Ce n’est pas vraiment la première femme que je caresse, mais c’était plus classique, dans l’ambiance d’une soirée, une sorte de jeu pour bien exciter nos conjoints avant de profiter de cette excitation qu’ont toujours les hommes devant le spectacle de deux femmes qui se gouinent.
Elle ne peut ignorer que c’est moi qui l’embrasse. Je me surprends à attirer son visage vers moi, vers l’avant et vérifier ainsi mon hypothèse alors que des profondeurs de sa gorge un grognement résonne.
Goûter à ses tétons me fait autant d’effet à elle qu’à ...
... moi. Mais son Maître veut autre chose. Il tient une sorte de tapette souple, me la montre en donnant un petit coup sur un sein et me la tend.
De douceur je deviens tourmenteuse. Chaque coup en appelle un autre. Chaque coup m’enhardit pour le suivant, me donne confiance, me rassure sur ce qu’il produit. Elle gémit. J’aimerais croiser son regard. Il me parlerait, miroir de l’âme.
Matéo m’encourage, me montre le ventre, les hanches, le sexe.
Ce sexe qui ajoute une dose de transgression à ce moment. Ce sexe prisonnier. Ce sexe rendu inaccessible par sa cage qui l’enferme et le protège. Sauf les boules, deux testicules qui ne font qu’une sphère.
Je me surprends à les tapoter. Tout le monde connaît, en particulier les femmes qui ont suivi des cours d’autodéfense, la sensibilité de cet endroit. Pourtant elle, il, ne fuit pas. Je n’ose pas insister.
L’homme me tend une clé. Elle est si petite que mes doigts ont du mal à la maintenir. J’en devine l’usage, car si la cage est couleur métal, blanc, le petit cadenas est jaune.
Je suis obligée de me baisser pour pouvoir glisser la clé dans la minuscule serrure.
Pas de bruit, pas de clic, pas de clac, pas de ces bruitages qui, au cinéma, accompagnent ce genre de chose. Non, la tige est ouverte. En la tirant, je libère le mécanisme. Il rassemblait à un anneau passant à la base des bourses, relié à la cage qui déjà semble chassée par un sexe retenu trop longtemps prisonnier et qui se déploie maintenant. J’ai la cage en main, ...