Le féminin de Maître ! - Histoires de Sexe

Le féminin de Maître !

... se révèle un homme, un trans. Je savais que cela existait, mais même dans nos soirées nous n’en avions jamais rencontré, tout comme la pratique du SM.

Le métal est doux à la main. Elle gémit et son sexe semble se tendre, mais la prison est parfaite.

Où est le plaisir ? Son sexe est étouffé et toute érection rendue impossible. Pourtant, lorsque de l’autre main j’enveloppe les bourses gonflées comme prête à éclater par la pression, elle gémit de nouveau. Et ce n’est pas de douleur…

— Maître, je peux ? implore la soumise.

J’ai pensé « soumise » car, sans être une experte, j’ai entendu parler de la relation « Maître-Soumise », ne serait-ce que par la publicité qui a été faite lors de la sortie d’un livre américain, faisant trembler l’orthodoxie coincée de tous les puritains.

— Oui.
— Elle peut me punir avec votre fouet ?

L’homme me regarde.

— Il faut lui demander, à elle.

Avant d’écouter la suite, je refuse de suite par :

— Non, je ne peux pas. Je ne peux pas frapper…
— S’il te plaît.

Un comble. Quel plaisir que ce soit moi, plutôt que lui ? Déjà, quel plaisir peut-elle avoir d’être battue ? Pourtant, l’homme me tend le fouet. Je dois être comme une poule qui a trouvé une fourchette.

— Attends, me dit l’homme. Il faut te mettre à l’aise.

Alors que je tiens cet objet, il s’occupe de moi. Avec dextérité, il enlève ma robe. C’est étrange, ma manche qui passe sur mon poignet et glisse sur le manche que je serre comme une branche à ...

... m’accrocher.

— Tu es belle, me susurre-t-il à l’oreille alors que soutien-gorge et slip me sont enlevés.

Ses mains me caressent. En particulier, il va vérifier que mon petit trou est toujours occupé.

— Tu ne perds rien pour attendre.

Mais, déjà, il me pousse vers elle. Il me fait le geste de frapper. Je vais refuser, mais la façon dont la croupe se tend est une invitation.

Je frappe.

— Plus fort. Regarde, comme ça.

Il m’a pris le fouet des mains et a assené un coup dont la violence me paraît énorme, mais à nouveau ce gémissement qui sort des lèvres de Nives est comme un remerciement.

Il me rend le fouet. Alors je le fais. Chaque coup me rend plus audacieuse, plus forte, et chaque petit cri résonne comme un encouragement.

Les fesses sont rouges. La croupe s’est détendue un peu. Je croise le regard du Maître qui me fait signe d’arrêter. Je me sens coupable de m’être laissée emporter, mais son sourire ne montre aucun reproche.

Il s’éloigne une seconde, trouve un sac, fouille dedans et en extrait une barre métallique. Barre étrange, courbée, avec comme deux sphères brillantes et un anneau. Je n’ai jamais vu un tel objet, mais, bien vite, j’en saisis l’usage.

Il enduit les deux boules de crème grasse tout en mettant une noix du produit sur l’anus de Nives. La couleur des fesses s’atténue doucement. Elles doivent cependant être très sensibles, mais la Soumise ne proteste pas lorsque la première sphère frappe à la porte de son cul. Elle glisse, disparaît, la tige ...