Le féminin de Maître ! - Histoires de Sexe

Le féminin de Maître !

... envisager de sortir dans cette tenue.
— Alors qu’avec vous je serais en sécurité…
— Plus qu’en sécurité. Assurée de trouver tout ce que cette Angélique de nuit va chercher ailleurs.
— Vous êtes bien présomptueux. N’oubliez pas que vous êtes déjà en bonne compagnie.

Un silence. J’insiste, soudain excitée de cette situation :

— Je ne suis pas une voyeuse, bien que cela puisse être excitant. Avez-vous les moyens de satisfaire deux femmes ?

Il rit.

— Bien au-delà…
— Présomptueux.
— Vous faites la fière, mais si vous n’étiez qu’une allumeuse.
— Moi ?

Un silence.

— Regardez. Nives va vous montrer, dit l’homme qui, d’un geste, fait comprendre à sa voisine de passer sous la table.

Il fait sombre et heureusement la nappe descend très bas. Personne ne remarque la disparition de la femme. Il faut dire que les banquettes sont tournées vers le bar.

L’homme bouge. Il est manifeste que la femme s’occupe de lui. Il doit l’aider à dégager du pantalon son sexe, dont j’entrevois l’espace d’un instant une blancheur étonnante.

Elle le suce, c’est évident. La respiration de l’homme est différente. Son regard va de la salle à son entrejambe dont la nappe doit lui cacher le principal.

Mais je sens une main sur un mollet. Une main qui monte jusqu’au genou, passe la cuisse pour venir se poser sur ma petite culotte. C’est la femme qui explore. Je ne bouge pas, curieuse de voir ce qui va se passer. Me sentant sans réaction, la main se glisse entre dentelle et peau. ...

... Elle me caresse. Je ne peux retenir un gémissement. L’homme le découvre. Il me regarde, lui aussi, troublé par la fellation de Nives. Il pose sa main sur ma cuisse. Le tissu est chassé. Il me palpe, mais sans aller plus loin.

La douce main de la femme me caresse, et elle découvre la dureté du plug. Je sens très bien ses doigts en vérifier la présence.

Je la vois se relever et venir parler à l’homme. Nul besoin d’être télépathe pour comprendre ce qu’elle lui dit. Le regard que tourne l’homme vers moi est différent.

La femme replonge. La main de l’homme avance sur ma cuisse, se glisse entre mes jambes, puis entre la fesse et la banquette. Il vérifie.

Son regard change. C’est celui de tous mes Conforts lorsqu’ils découvrent ce qui me remplit le petit trou. Petit trou qui, occupé par un plug, devient cul. Je peux voir dans leur regard ce qu’ils pensent : une salope qui se trimballe le cul occupé. Une femelle qui a besoin qu’on lui montre ce qu’est un homme, un vrai. Probablement que son mari est un impuissant et qu’elle cherche…

— Suce-moi, salope.

La violence est totale d’autant qu’il m’a parlé en français. Fini la courtoise, les politesses. C’est ce que je cherche en général, mais ici, dans cette pièce, dans ces conditions, je me sens rabaissée.

« Ne fais pas ta difficile. Après tout c’est ce que d’une certaine façon tu cherches. Montrer rapidement au Confort potentiel ce que tu veux. Ne pas séduire, c’est aussi, d’une certaine façon respecter l’esprit du ...