Le féminin de Maître ! - Histoires de Sexe

Le féminin de Maître !

... s’appelle ainsi, prend son rôle à cœur. Elle sait utiliser la balançoire. Ma pauvre chérie, mais comment acceptes-tu cela ? Je te vois. Tu es à deux mètres et je suis, comme les rares personnes, spectateurs triés sur le volet, fascinés par…

— Tu connais ? Je ne sais pas comment elles font, mais ces coquines arrivent à tout gober.

Elle a raison. La balançoire l’éloigne de l’homme, mais c’est pour mieux la rapprocher. La tige apparaît une seconde dans toute sa splendeur, brillante de salive, et disparaît jusqu’à ce que les lèvres stoppent l’avancée.

— Ça t’excite, toi aussi ? Aucun homme ne peut rester indifférent.

La femme s’est rapprochée. Je sens la chaleur de son corps contre moi. Son souffle me chauffe le cou.

— Je peux ?

Elle demande, sans préciser, mais sentir ses mains sur mes fesses, qui tournent sur mes hanches et s’approchent de ma virilité, me fait comprendre. Je ne dis rien et elle le prend pour un oui. C’est lorsque je sens sa main sur mon sexe que je réalise que je bande.

Je bande. Elle me caresse le sexe et les bourses alors que juste là, à portée de main, c’est mon épouse qu’un homme étouffe avec son mandrin.

Elle ne proteste pas et, pourtant, elle cherche sa respiration, le temps très court où il la libère.

En face, la Maîtresse a rejoint son complice. Lui, pas besoin de caresses, il bande dur. Elle le pousse vers les cuisses grandes ouvertes, portes obscènes au désir de tous.

Le plug est retiré avec difficulté, et je comprends ...

... pourquoi lorsque je le découvre : baudruche gonflée par la poire qui traînait au sol. Elle a le cul grand ouvert. Le temps de mettre une capote et Matéo l’occupe.

Nives et Matéo se la partagent. La balançoire l’offre à l’un pour le retirer à l’autre. Mais chacun à sa part.

Et elle ? Et moi ? Chérie, je te regarde et si je bande de ce spectacle où, Soumise et baisée par deux hommes, tu t’abandonnes, je m’inquiète cependant. Tu m’as demandé mon accord et je te l’ai donné. J’avais écrit un récit que je croyais trop loin de la réalité pour le croire crédible. Et pourtant ! Finalement Alejandro, le Mexicain virtuel n’est pas bien loin.

Je bande et une inconnue me branle doucement. C’est bon. Très pervers et vicieux, mais bon. Mais après, lorsque tu vas me revenir je vais te paraître bien fade et même nos soirées libertines ne seront pour toi que de pâles imitations.

Tu ne vois rien. Mais tu es filmée. Auras-tu le courage de me raconter dans le détail ces instants comme tu me l’as promis ? Devrais-je, comme dans mon récit, te montrer la vidéo qui est tournée au même instant.

Tu te verras ! Tu les verras ! Tiens, regarde, c’est Matéo qui te baise alors que c’est une femme qui remplit ta gorge. Une femme, eh oui ! Tiens, tu verras ton Maître… sa complice qui se place derrière lui… Ce gode qu’elle porte comme soudé avec elle… Ce gode qu’elle place et… Oh ! Tu seras surprise de voir ton Maître d’un soir, ton Matéo chéri, se faire prendre le cul par sa complice. Et elle ne ...