Le féminin de Maître ! - Histoires de Sexe

Le féminin de Maître !

... pour lui.

Maîtresse est venue le rejoindre. Elle s’est collée contre lui. Elle lui parle à l’oreille. Je pense une seconde qu’il ne peut que sentir le gode qu’elle porte. Elle lui parle, mais elle a aussi passé ses mains sur son torse. Elle joue avec sa fourrure, manifestement la maltraite, puis joue avec ses tétons comme on le fait de ceux d’une femme.

Ils sont complices. On ne sait lequel est l’assistant de l’autre. Est-il possible que deux Dominants soient présents dans ce genre de soirée ? Je n’en sais rien, mais, pour l’instant, Maîtresse joue avec le Maître.

Elle se saisit de sa main, la pose sur le corps de la soumise, la promène en insistant sur les souillures de foutre pour ramener la cueillette vers la poitrine. Pendant de longues secondes, le foutre est étalé et ramené au mieux vers les seins. La soumise gémit et se tortille. Ce ne doit pas être de douleur, tout au plus des chatouillis, sauf lorsqu’ils insistent sur les seins comprimés.

Maîtresse laisse son compère à ce jeu. Elle vient vers moi. Elle fait un geste. Merde, je suis découvert ! Mais c’est ma voisine qui est en réalité invitée.

Ma voisine qui se révèle ne pas en être une. Enfin une voisine, une femme avec tous les attributs de son sexe sauf… sauf qu’en bas, ce sont les attributs d’un homme. Un sexe qui ne parait pas indifférent de ce qu’il a vu.

Homme et Femme.

Les inconvénients des deux ?

Les avantages des deux ?

Psychologie de comptoir ! La réalité est là. La Maîtresse ...

... qui a gardé la tapette en joue en « titillant » le sexe et les bourses. L’homme se réveille. Son sexe se tend. Excité par ces caresses ou de voir le gros gode ceinture de sa Maîtresse avec l’idée qu’il pourrait bien être pour elle.

Le sexe est dur, horizontal. Sa Maîtresse le prend dans sa main, l’homme se tend vers elle. Mais elle le guide vers la Soumise. Elle se charge de défaire le bâillon avec sa boule. Les lèvres rouges peuvent bouger un peu, mais elles n’ont pas le temps de respirer que la Maîtresse pousse le mandrin vers ce gouffre.

La bouche est ouverte. La tige avance un peu, mais l’homme-femme ne doit pas être ignorant de ce qu’est une fellation. Manifestement, il laisse le temps à la femelle, la vraie, la perverse qui se prête à ces jeux avec délice, la salope, la chienne, la… la… Ma femme, mon épouse, mon amante… la Soumise, qui se laisse…

Un coup de tapette sur les fesses de l’homme et la bite fait un bond. Un second et la voici disparue dans cette gorge qui doit étouffer avec cet engin.

Chérie, ne te laisse pas faire. Ils n’ont pas le droit de faire ça. Tu ne mérites pas cela. Tu vaux mieux que cette chienne qui se donne en spectacle.

— C’est beau, n’est-ce pas ? murmure-t-on dans mon oreille. C’est excitant… vous connaissez Nives ?
— Non.
— Moi, ça me trouble à chaque fois de le voir. Cette poitrine, cette féminité et, en même temps, cette virilité. Faire l’amour avec elle est une expérience unique.
— Certainement.

Nives, puisqu’il ou elle ...