Le féminin de Maître !
Datte: 18/12/2022,
Catégories:
grp,
candaul,
campagne,
fsoumise,
hsoumis,
Transexuels
Oral
préservati,
Partouze / Groupe
fsodo,
sm,
donjon,
attache,
BDSM / Fétichisme
yeuxbandés,
confession,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... Et, malgré cela, tu me parlais de te faire opérer, pour une plus ferme, surtout une plus grosse. Assez grosse pour que, dans son sillon, les hommes puissent se branler et se répandre sans retenue.
La corde qui vient de ton cou, fait plusieurs fois le tour de chacun de tes seins, chaque tour devant favoriser la création de ces deux boules de chairs rouge vif avec des tétons que ton Maître a bien pris soin de garnir d’un bijou. Tu dois avoir mal. Pourtant tu t’es laissé faire ? J’aurais voulu être là pour le voir. Quel dommage ! Depuis combien de temps es-tu le jouet de cet homme ?
Quand je le regarde, il n’a rien d’un séducteur. Ainsi, il a été un Confort ! Pourquoi as-tu choisi cet homme ? Tu es si belle que tu dois avoir l’embarras du choix. Lui, nu, fait rustique, paysan même, un brin Cro-Magnon avec cette fourrure qui le couvre. Habillé, je ne suis pas certain qu’il donne le change. Je sais qu’une fois, tu m’avais dit : « aucun de mes Confort ne te vient à la cheville. Ni en beauté, ni en… ».
Elle n’avait pas terminé. Elle devait vouloir dire en « sexualité » mais je ne la croyais pas. Je ne suis pas une bête de sexe, juste un homme qui aime cela, mais qui n’a rien pour « marquer à vie » ces dames. Pas de verge dépassant la normale ! Pas de résistance sans fin ! Pas de redémarrage au quart de tour, sauf si une bouche gourmande me réveille avant l’heure. Elle devait les choisir non sur la beauté, cela je le croyais, mais sur ce qui devait émaner d’eux. Avec Matéo ...
... c’est certain que sa rusticité avait dû l’attirer.
Celui qui la laboure donne des signes de plaisir qui monte. Il ne se prive pas de parler. Si elle est aveuglée, elle ne doit pas être sourde et, même si son Espagnol est limité, elle doit comprendre les compliments.
Et puis il la libère, d’une main arrache sa capote et s’approchant au plus près de la femelle se branle quelques secondes pour éjaculer sur le ventre. Il n’est pas le premier, toutes ces traces en sont la preuve.
Mon Dieu, chérie, combien se sont déjà répandu sur toi ? Toutes ces flaques, ces traînées… N’en as-tu pas assez ? Dans nos soirées libertines, tu n’as jamais été avec plus de deux hommes.
Qu’est ce qui t’arrive ? Il t’a droguée ? Ce n’est pas possible ! Pourtant, tu m’as parlé clairement tout à l’heure, même pas d’une voix empâtée par l’alcool.
C’est à ce point ? Cette façon de te laisser faire, de totalement lâcher prise ! Une façon de relâcher la pression de ton travail, de tes responsabilités, de devoir toujours paraître forte, la patronne, celle qui commande…
Psychologie de comptoir ! En attendant tu ne te plains même pas. Pire, tu sembles attendre la suite. On te sent aux aguets.
C’est quoi, ce truc qui pend et qui vient de ton intimité ? En plus, tu dois avoir un plug dans les fesses. Un plug que ton Maître a mis en une sorte de « chasse gardée », pour lui, pour le braquemart que je vois. Il bande de ce qu’il te fait. Il te donne, te dresse, te fait souiller, mais garde ton cul ...