Le féminin de Maître ! - Histoires de Sexe

Le féminin de Maître !

... C’est un sexe d’homme bien tendu qui cherche le petit trou. C’est un gland écrasé de latex, profilé, qui écarte le muscle. C’est une hampe volontaire qui avance, déclenchant un mouvement chez le Soumis. C’est un ventre d’homme qui se plaque contre les fesses sombres.

Alors elle fait le tour. Alors elle parle à l’oreille de la femme. Mais la femme a dû ressentir ce qui se passait. Elle ne gronde pas, elle ne proteste pas.

La crème. Le gland qui avance. La hampe qui glisse. Le ventre contre les fesses.

Quatuor parfait !

La Maîtresse, par quelques coups de fouets, plus des caresses que des coups, donne sa bénédiction.

Les corps bougent. Les spectateurs regardent.

Moi aussi, je regarde. Nulle part ma femme. Nulle part une autre Soumise à part celle attachée. Où est-elle ? Matéo n’aurait-il pas suivi ma demande expresse : « en public » ? Alors, où sont-ils ?

Mais je vois la Maîtresse s’éloigner. Sur le côté, derrière un paravent, une ouverture. Je la suis.

La pièce est plus petite. Quelques personnes et je le vois. Je le reconnais, car il est le seul qui ne porte pas de masque. Le maître de maison est connu de tous, mais il est aussi le Maître de celle qui est devant lui.

C’est comme un hamac mais avec quatre fixations au plafond. Plafond non voûté, mais plat avec un grand miroir. Miroir aussi au sol, sous le hamac. En réalité, j’ai eu l’occasion de le voir sur les sites de BDSM, c’est une balançoire, balançoire sexuelle. La femme y est allongée sur le ...

... dos, bras et jambes attachées le long des quatre sangles qui supportent l’ensemble.

Femme prisonnière, totalement à la merci des autres.

Cette femme, c’est ma femme, cela ne peut être que ma femme. L’homme a respecté mes demandes. En public, pour sécuriser. Public certes restreint, probablement sélectionné, mais il n’a pas protesté lorsqu’il m’a vu.

Femme non identifiable. Il lui a fait mettre une cagoule qui répond encore mieux au critère de l’anonymat. Cagoule qui la rend aveugle en plus et cache donc celui qui est chargé de filmer.

Pour le reste, c’est une Soumise.

La position, bien entendu, qui laisse toute liberté à l’homme qui est entre ses cuisses et qui la baise en utilisant les mouvements contrôlés de la balançoire.

La cagoule qui est complétée par un bâillon, bâillon boule un peu comme le couple que je viens de voir. Un bâillon qui ne laisse passer que des gémissements.

Ma pauvre Chérie. C’est donc cela qui te plaît maintenant ? Te livrer totalement. Laisser un homme faire de toi une sorte d’esclave sexuelle qu’il offre même à d’autres, des inconnus pour toi, peut-être même des inconnus pour lui. Lui donner le droit d’utiliser la tapette qu’il tient dans la main et qu’il utilise pour te taper les fesses, le ventre et la poitrine.

Oh, ta poitrine ! Ta pauvre poitrine. Comment peux-tu lui laisser la maltraiter ainsi. Où sont passées tes deux sphères dont tu es si fière, encore bien fermes grâce aux exercices auquel tu t’astreins tous les jours ? ...