Le féminin de Maître !
Datte: 18/12/2022,
Catégories:
grp,
candaul,
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fsoumise,
hsoumis,
Transexuels
Oral
préservati,
Partouze / Groupe
fsodo,
sm,
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BDSM / Fétichisme
yeuxbandés,
confession,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... sangle enveloppe les deux corps et, à la façon dont ils se tiennent, on peut penser que dans l’intimité de leur interface, une verge bien sombre et chargée de fantasme est venue cheviller la femme.
Deux corps, bâillonnés, aveuglés.
Je cherche des indices. Mais non, mon épouse n’en fait pas partie. La femme est plus grande, sa poitrine trop opulente, son bronzage n’est pas total, des signatures que je ne connais pas.
Devant ce couple, me tournant le dos, la seule personne habillée. Une femme, manifestement La Maîtresse de ces lieux. Maîtresse dont le fouet qu’elle tient à deux mains n’est pas qu’un accessoire.
Elle les frappe. Alternativement l’homme et la femme sont fouettés et chaque coup doit favoriser la pénétration du mandrin que je n’ai malheureusement pas vu.
La Maîtresse est de noir vêtue. Perruque noire, masque à la Batman très enveloppant qui cache le visage, mais laisse visible des lèvres écarlates, des lèvres de carnassière. De longs gants noirs habillent ses mains et ses avant-bras, mains dont les doigts sont marqués par de grosses bagues.
Elle fait le tour du couple et je la découvre mieux. La robe, courte, moulante, en latex, déjà provocante, laisse le passage pour la poitrine. Deux seins, à la fois prisonniers et magnifiés par le passage prévu. Passage d’un diamètre probablement insuffisant et calculé, je n’en doute pas, pour faire jaillir une poitrine sublimée.
Elle est la Maîtresse. Maîtresse plus que sexy avec cette robe qui la moule, ...
... ses seins à l’air. Et je ne parle pas des cuissardes qu’on a dû mouler sur elle, tellement elles sont ajustées.
Mais ce qui vient ajouter une touche de vice, si le lieu en avait besoin, c’est le gode ceinture qui fait apparaître un sexe d’homme, sexe tendu vers le ciel.
Le couple n’est pas seul. En dehors des spectateurs en retrait, d’autres semblent se préparer. C’est comme si les conjoints de ceux qui sont attachés ensembles, chevillés, fouettés, avaient prévu de participer. Déjà, celle que je suppose la femme de l’homme, car de même couleur de peau, est agenouillée devant deux belles bites qu’elle suce et branle.
On lui tend deux capotes. Elle les déroule sur les mandrins préparés.
Elle se relève. La Maîtresse a cessé de fouetter le couple attaché et unis dans un même plaisir. Un silence se fait parmi l’assistance. La Maîtresse donne son autorisation d’un geste.
Alors la femme guide le premier homme. Elle le dirige derrière celui qui est son mari. Ses belles mains caressent des fesses qui frémissent. Elle se plaque contre le dos et semble parler à l’oreille du Soumis. On entend l’homme gronder. Pourrait-il refuser, bâillonné comme il l’est ? Oui, car bien que lié à celle qui est face à lui, il arrive à bouger la tête. Et ce n’est pas un « non ».
Alors avec un tube de crème qu’une main bienveillante lui tend elle enduit le petit trou de son mari.
Alors elle invite son complice. Est-ce le mari de la soumise ? La perversité le voudrait. Mais peu importe. ...