Le féminin de Maître ! - Histoires de Sexe

Le féminin de Maître !

... Ainsi, elle pourra profiter du spectacle !

À mon retour, une capote m’attend. Le sexe est si tendu que la dérouler est facile. Matéo voudrait se lever, mais je veux aller au plus vite.

C’est moi qui le fais allonger.

C’est moi qui monte sur le lit, rampe pour me mettre dessus.

C’est lui qui maintient son bâton vertical, mais c’est moi qui prends le relais pour me faire glisser en deux secondes sur le vit.

Je suis si humide que je me demande si je ne suis pas une piscine. Alors, je me baise. Il n’y a pas d’autre mot. Je n’arrive pas à me satisfaire, tellement j’ai envie. Lui aussi, qui donne des coups de rein.

Le plug qui faisait totalement partie de moi se réveille, bousculé par la bite. Souvent, mes Conforts, après m’avoir satisfaite une première fois, s’intéressent à ce chemin. Parfois, même, c’est dès la première fois qu’ils l’envisagent. Mais je refuse : chaque côté a son plaisir et celui du vagin est indispensable. C’est après que celui du cul, plus pervers, plus long à obtenir et si différent, est appelé.

Cavalière. C’est toujours ce que l’on dit de cette position, lorsque la femme se tient bien droite pour s’empaler.

Il a les bras en croix, extase du corps.

De la tête de lit, je découvre deux menottes qui pendent. Ils avaient peut-être commencé leurs jeux avant d’aller dîner. Je tourne la tête. La Soumise nous regarde. Je reviens vers les menottes. Lequel était attaché ?

Je ne sais ce qui me prend, mais je me relève. Matéo est surpris, ...

... mais je ne vais pas loin. J’attrape un anneau ouvert et montre sa main. Il sourit et obéis.

C’est différent. Il paraît plus gros, plus dur. Il me remplit, mais j’ai aussi sous les yeux cet homme avec les bras attachés, à ma merci.

L’un est derrière moi, dans le salon, prisonnier qui regarde ; l’autre est sous moi, immobilisé et y trouvant manifestement son plaisir. Deux hommes, plutôt deux partenaires et toutes ces idées qui se bousculent qui me troublent. Déjà j’envisage de…

— Ahhhh.

Il jouit. Quel dommage que son foutre ne puisse pas venir me rafraîchir.

— Ohhhhh.

Je coule. Que c’est bon. Une jouissance comme je n’en avais pas eu depuis… depuis…

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Je n’ai pas donné de détails à Alexandre. D’ailleurs, je n’en donne jamais et il ne me demande pas. Je me sentais coupable aussi. C’est la première fois que mon Confort était deux. C’est la première fois, aussi, que j’avais eu des jouissances si fortes, comme si elles se mettaient au niveau de ma force, force d’une femme découvrant qu’elle avait dans le sang le goût de la domination.

J’ai juste dit qu’avec ce Confort, Matéo, la relation avait pris un tour un peu plus brutal. Il s’est inquiété pour moi et j’ai souri en mon for intérieur, car il a pensé « brutalité » envers moi. Mon cher mari toujours inquiet pour sa femme lorsqu’elle part « en chasse de confort ».

Trois mois après.

Matéo est un pervers, un vrai. Il s’est débrouillé pour qu’on lui signale ma venue ! Il m’a invitée et ...