La Solitude d'Anastasie Beaubois (1)
Datte: 12/12/2022,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Count Zero, Source: Xstory
... jeune homme. Il remonta les doigts le long du creux formé par sa colonne, et fut surpris de constater qu’elle ne portait pas de soutien-gorge.
Avant qu’il pût lui caresser la poitrine, elle se détacha de lui, un sourire espiègle d’adolescente se dessinait sur son visage empourpré. Il la prit par les hanches pour la ramener à lui. Elle se retourna et ses fesses à elle se retrouvèrent plaquées sur la demi-érection qui lui défroissait le pantalon. Il continua de l’embrasser, sur la bouche, sur les joues avant de descendre dans le cou et de s’enivrer de son parfum. Elle accueillit ses avances avec un nouveau soupir étouffé. Elle guida alors ses mains timides, qui se contentaient de traîner autour des hanches et de sa taille, vers sa poitrine et sa culotte.
Basile caressa les seins de la femme qui s’était offerte à lui, et la timide délicatesse dont il faisait preuve jusqu’à ce moment se mua peu à peu en une forme d’impatiente vigueur. Il en fit de même avec le reste : ses doigts allèrent se poser sur la fine dentelle, à un point précis qui lui semblait pertinent. Il sentait la chaleur et la moiteur de son corps monter en elle.
Poussé par son excitation, Basile souleva le t-shirt d’Anastasie, lui révélant son dos et ses épaules musculeuses et noueuses, il se colla à elle de plus belle, lui empoignant la poitrine avec fougue.
Il fut très troublé lorsqu’Anastasie lui tendit un préservatif. Il était certes heureux d’en avoir un sous la main, mais il savait que cela ...
... ferait naître des questions en lui quand ils auraient terminé. Elle s’allongea sur le canapé, ses longues jambes écartées, prête et désireuse de le laisser la pénétrer. Il enleva promptement ses vêtements et ne se fit pas attendre.
Il glissa en elle avec aisance après avoir écarté de son chemin sa petite culotte noire. Elle poussa un long soupir et elle s’agrippa à ce qu’elle put : ses cheveux et ses fesses, et se laissa complètement aller à la volupté d’être coincée entre le lourd canapé en cuir familial, et un homme qu’elle ne connaissait qu’à peine. Elle haletait, elle suait, elle jutait partout sur le cuir noir du sofa hors de prix. Elle serra son partenaire de plus belle, lui demandant d’intensifier le matraquage de sa pénétration à la fois en vitesse et en intensité. La jouissance, qui lui avait été longtemps inaccessible avec son mari, lui semblait tout à coup à portée de main... « Oui ! » Haletait-elle, à bout de souffle. « Vas-y ! »
La chose montait en elle, elle la sentait venir. Elle avait dans l’idée d’essayer plusieurs positions ce soir-là, mais elle ne voulait surtout pas briser la dynamique qui s’était créée. Il l’agrippa par la natte et la força à l’embrasser en accentuant ses mouvements de bassins, et elle eut presque honte d’aimer ça. Elle planta ses ongles dans sa chair en représailles, un sourire carnassier aux lèvres.
La jouissance monta en elle, encore, encore et encore.
Et dans un ultime coup de reins, son partenaire la fit jouir.
Elle se ...