1. NSFY (Not Safe For You) (1)


    Datte: 06/12/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: domindoe, Source: Xstory

    ... la pièce, quoique ce spectacle me ravisse au plus haut point. Allez, viens !
    
    Je me décidai, toujours incapable de comprendre ce qu’il s’était passé, toujours incapable d’imaginer ce que ce couple manigançait. Je me serrai contre Ludmilla, elle ne refusa pas la fraicheur de mon corps. Ses deux mains enfouies sous les draps s’activèrent à m’amener à la bonne température. Elle jouait avec ma verge, remarquant que le froid n’avait pas d’effet réducteur, s’amusant à dresser une bosse sous le drap comme un poteau de chapiteau. Elle disparut un instant et je sentis ses lèvres entourer mon gland. Sa langue en jouant avec le pourtour, énervant le méat. Je lui abandonnai une goutte de mon miel. Mes reins commençaient à se creuser quand on toqua à la porte de la chambre. Une boule de cheveux roux surgit hors du drap pour reprendre place à mes côtés. Au troisième toc, elle cria « Entrez ».
    
    L’aubergiste ne parut pas surpris de trouver sa femme nue, tout au moins poitrine à l’air, dans mon lit. Au contraire, il souriait d’un air plus que satisfait.
    
    — Bonjour, avez-vous passé une bonne nuit ? demanda-t-il sans la moindre trace d’ironie.
    
    Je ne savais que répondre à cette question. D’une part, je ne savais pas comment avait été la nuit, et d’autre part, j’ignorais comment répondre à une telle question dans de telles circonstances.
    
    — Très, la nuit a été très apaisante, répondit sa femme.
    
    — Tu m’en vois ravi. Je vous ai préparé un petit-déjeuner reconstituant, œufs au plat, ...
    ... confiture, beurre, viennoiseries diverses, miel, pain frais, brioches, thé, café, lait. Si vous avez besoin d’autre chose ou de plus, n’hésitez pas.
    
    Il posa le plateau sur le lit. Deux supports permettaient au plateau de se tenir de manière stable comme une petite table. L’aubergiste s’assit sur une chaise dans un coin de la chambre, visiblement il attendait quelque chose. Que nous commencions et exprimions notre satisfaction peut-être ? Ludmilla beurra une tartine puis l’enduisit de confiture de groseille. Elle la porta à sa bouche, mais au lieu de mordre dedans, elle l’étala sur ses lèvres et tout autour de sa bouche, puis la dévora à pleines dents. Elle versa du miel sur ses seins tout en suçant l’index ayant servi de pinceau par de nombreuses plongées dans le pot.
    
    — Lèche-moi, je suis toute dégoulinante !
    
    Ébahi, j’hésitai un instant. Je jetai un coup d’œil au mari assis dans son coin. Il souriait béatement, aucune trace de rébellion sur son visage. J’obéis à l’injonction. Ses nichons étaient tartinés de miel, complètement sucrés. Liquide, il commençait à suinter entre ses seins, suivant toutes les courbes de la poitrine. J’aspirai, je suçai, ma langue papillonnait. Je m’attardais, peut-être un peu trop, sûrement un peu trop sur la pointe d’un mamelon que je sentais durcir. Je le mordillais alors qu’il n’avait plus que le bon goût de la chair et du lait. Ludmilla me souleva la tête en me tirant les cheveux « le miel », ordonna la voix au timbre de groseille et de ...
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