1. De Toit à Moi.


    Datte: 25/11/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, couple, candaul, Collègues / Travail fsoumise, hsoumis, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, intermast, Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, jouet, sm, baillon, yeuxbandés, fouetfesse, confession, dominatio, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... la boule qui obstruait sa bouche retenait. Des gémissements, des cris accompagnant un magnifique ballet de ce corps magnifique que le vibro transcende. Elle gémit, elle crie, elle hurle annonçant sa jouissance par des « oui, oui », mais son Maître enlève le vibro et lui refuse le dénouement que son corps demande. Elle ose un « encore, encore, continuez », mais rien ne vient.
    
    Sauf que son Maître lui enlève le bandeau.
    
    Sauf qu’elle peut voir Martial se lever et se déshabiller. Elle le regarde. Il est grand et la couleur sombre de sa peau lui donne une puissance chargée de fantasmes. Il est bientôt nu. Son sexe est en semi-érection. Il le prend en main et le caresse lentement. La femme peut suivre du regard ce qui se prépare. Lentement l’engin prend forme, la forme d’un phallus magnifique, ni trop gros, ni trop long, bien proportionné, loin de certains monstres que l’on peut voir du le net.
    
    Le mari aussi a le regard fixé sur le mandrin. Il se lève et, après avoir demandé comme un accord muet, remplace la main de Martial par la sienne. La peau blanche fait ressortir la peau sombre.
    
    Pendant ce temps le Maître aussi se dénude. Lui aussi bande à moitié. Moi, à sa place, mon sexe serait un bâton dur, mais il a, comme son adjoint, une expérience que je n’ai pas.
    
    Le silence ne laisse place qu’à des respirations. Tous les regards vont vers le mari qui branle celui qui de toute évidence va profiter de son épouse.
    
    La main qui se pose sur la tête du mari. L’homme qui ...
    ... s’agenouille devant Martial et le Maître, une verge dans chaque main.
    
    Le lent massage qui branle les deux membres qui maintenant sont déployés.
    
    Les lèvres de l’homme qui se tendent vers le bout sombre, champignon qui termine la queue de Martial. Des lèvres qui se posent avec délicatesse, comme juste pour goûter, mais qui, découvrant la douceur de la peau, la tiédeur du vit, s’entrouvrent pour gober cette pointe si affriolante.
    
    La bouche qui passe d’une bite à l’autre. La femme voit, mais aussi doit entendre ce bruit, cette respiration, la glissade gluante et salivée qui fait que chaque membre disparaît tour à tour dans la gorge accueillante.
    
    Et puis, on voit Martial repousser le mari, passer derrière elle. Elle ne peut ignorer qu’on touche au fragile équilibre entre son cul et ses tétons, que le crochet et ses boules sont retirés d’entre ses fesses. Mais c’est pour laisser la place à plus chaud, plus vivant, plus palpitant. Des mains qui s’accrochent à ses hanches. Un dard qui pointe et qui trouve un chemin qui paraît sans défense.
    
    Elle a peu de liberté, mais celle qui lui reste, elle l’utilise pour mieux s’offrir maintenant qu’elle devine à « quelle sauce elle va être mangée ».
    
    C’est un soupir sans fin qui sort de ses lèvres alors que le dard la pénètre et fraie son chemin dans son petit trou. La croupe est offerte. Les jambes fléchies de Martial montrent qu’il s’est placé au mieux et lorsque ses jambes se tendent c’est la démonstration parfaite que sa queue ...
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