1. De Toit à Moi.


    Datte: 25/11/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, couple, candaul, Collègues / Travail fsoumise, hsoumis, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, intermast, Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, jouet, sm, baillon, yeuxbandés, fouetfesse, confession, dominatio, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    J’ai trente ans. Si beaucoup d’enfants ne savent pas ce qu’ils veulent faire dans la vie, moi, très jeune j’ai su que je voulais être couvreur. Je rêvais de protéger les belles demeures, les beaux bâtiments, les églises, les cathédrales. Toits de zinc, de cuivre, d’ardoises ! Pentes vertigineuses ! Formes complexes !
    
    Évidemment que ce n’est pas tous les jours que de tels chantiers sont proposés, si ce n’est pendant mon tour de France. De retour au pays ce sont des chantiers plus classiques que je soumissionne, mais je ne regrette pas. J’ai créé ma société. Je ne me plains pas, car mon statut de Compagnon fait accepter des devis plus élevés en échange d’une qualité garantie.
    
    Il est 23 heures. Ce que je m’apprête à faire n’est pas très orthodoxe, mais il faut que je satisfasse ma curiosité. J’ai laissé sur l’échafaudage un téléphone qui me servira d’excuse si on me surprend. Il faut dire que depuis quinze jours nous travaillons sur le toit d’un charmant pavillon de banlieue, maison plus de Maître que de banlieusard. Encore une propriété que la ville a grignotée.
    
    Vous devez vous demander pourquoi je reviens sur un chantier un samedi et à une heure si tardive ? Deux raisons :
    
    La première, c’est la destination de la pièce sous le toit que nous refaisons. Un grenier manifestement aménagé. Il faut dire que les poutres de la charpente sont de toute beauté. Pourtant j’ai remarqué de nombreux points d’ancrage sur les poutres et devant mon étonnement manifeste le ...
    ... propriétaire m’a précisé : « Avant on accrochait les jambons pour les faire sécher ». Mais comme je proposais de les enlever, il m’a coupé par un : « Laissez, cela donne un cachet à la pièce. » Mais ce n’était pas la seule particularité. Les meubles avaient été regroupés au centre et recouverts par des draps. Si fauteuils et canapé étaient reconnaissables à leur forme, il n’en était pas de même pour un ensemble compact, mais de formes très étranges. Et particularité supplémentaire, ces objets étaient enveloppés avec soin et « sécurisés » par de longues bandes de scotch. Je ne sais pourquoi, mais certaines formes indistinctes m’avaient fait penser à un chantier du temps de mon tour de France.
    
    La seconde a été l’insistance du client pour que le chantier soit terminé ce samedi. Une exigence bien naturelle s’il ne m’avait dit : « Je reçois des amis ». Il avait toute la maison de disponible, je l’avais visitée, et le chantier ne perturbait en rien les autres pièces au premier étage et au rez-de-chaussée. Pourquoi vouloir à tout prix utiliser le grenier, même aménagé ?
    
    J’avais répondu que ce serait le cas, mais j’avais ajouté déjà une idée perverse en tête que je ne pourrais enlever l’échafaudage que le lundi.
    
    Il est 23 heures. Je sais, il est tard et les amis probablement déjà partis ou ailleurs, mais avant cette heure il fait encore jour et on me verrait.
    
    Ouf ! Il n’a pas fermé totalement le volet de la grande fenêtre de toit ! Mieux encore, le « Velux » est entrouvert pour ...
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