De Toit à Moi.
Datte: 25/11/2022,
Catégories:
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Collègues / Travail
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Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... est tout entière dans le cul de la Soumise.
Elle est embrochée, enculée, mais ce n’est que le début. Le Maître quitte la gorge accueillante du mari pour venir demander sa part en le lovant dans la fente humide qu’une jouissance stoppée en plein vol a tout de même lubrifiée.
Alors le ballet commence. Le visage angélique de la femelle montre le long cheminement de ce qui la possède, mandrin qui doit forcer un espace déjà occupé par la belle bite noire, et qui pourtant parvient à la posséder encore plus.
Elle est comme en lévitation. Ses liens ne sont plus des entraves, ils servent à la retenir et la stabiliser sous les coups des deux hommes qui la bourrent sans ménagement.
Elle est belle. Même ses grimaces ne l’enlaidissent pas. Ses cris, feulements, gémissements sont des musiques qui m’enchantent. Son corps ballotté et transpercé par deux dards la rend encore plus désirable. Je bande et donnerais tout pour pouvoir me joindre aux autres.
Le mari s’est installé confortablement et a sorti son pénis. Il se branle. Il bande, enfin je crois, car je ne vois qu’une main bouger. Mais j’ai une brève vision de son sexe au moment où il le quitte pour se cracher dans la main. Il est tout petit. La taille d’un pouce, même peut être encore moins. Il me semble que je comprends la situation. L’épouse, comme le mari, doit compenser cette « faiblesse » par des jeux qui apportent à l’un comme à l’autre une sexualité qui leur permet de vivre leur amour sans qu’une sexualité altérée ...
... ne l’affaiblisse.
Il se branle. Sa femme est le jeu de deux hommes qui la baisent sans retenue. Elle crie.
Le mari éjacule son jus au moment où les deux autres qui ont pris part au concert des gémissements balancent leur foutre l’un au plus profond du cul l’autre de la fente.
Tout semble se figer.
— Putain, on crève de chaud, dit le noir alors qu’il retire sa bite gluante du cul de la soumise.
— Je vais ouvrir la fenêtre, dit le Maître tout en lui aussi abandonnant sa Soumise pour se diriger vers la télécommande.
J’ai juste le temps de reculer, car tous les regards se tendent vers la fenêtre.
La dernière vision que j’aie de la pièce est le visage angélique, avec un sourire de plaisir qui lui donne un air de « perverse ».
Dieu qu’elle est belle !
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Elle me hante. Je n’arrive plus à dormir. Dès que je ferme les yeux, je la vois. Je regarde les photos que j’ai prises et, si elles sont parlantes à ma libido et déclenchent de belles érections, je me reproche de ne pas en avoir fait assez. De son visage surtout. Son visage en entrant, adolescente sereine, puis inquiète, avec la douleur, les larmes, l’envie, le plaisir, la jouissance et toutes les traces de salive, de pleurs, de foutre qui n’arrivent pas à l’enlaidir. Au contraire qui l’habillent, la maquillent d’un fard d’humanité dans tout ce qu’elle a de plus beau, même si les coups et les punitions ne sont pas généralement retenus comme des actions ...