De Toit à Moi. - Histoires de Sexe

De Toit à Moi.

... » de mon smartphone alors que j’enchaîne photo sur photo. J’ai été « con » en ne pensant pas à libérer de la mémoire ce qui ne me permet pas les longues vidéos. Et pourtant il y aurait de quoi…

Seule la femme, probablement inquiète et se demandant ce que ce silence signifie, bouge en tournant la tête à la recherche d’une indication. Cela doit être drôlement oppressant d’être ainsi. Attachée, le corps accessible, la poitrine reliée à travers les chaînettes, le collier et le crochet, à son anus, aveuglée, bâillonnée, dans une pièce avec trois hommes, comptant, ou pas, sur son mari pour la défendre. En lui bâillonnant la bouche son Maître avait dit :

— Comme tu ne peux pas parler, fais un signe de la tête si tu veux tout arrêter.

Justement son Maître s’est emparé d’un objet, sorte de martinet avec de nombreuses lanières. En silence il montre au mari comment s’en servir. Je souris, car cela me rappelle une série, sur un site de Streaming, centrée sur la Domination où l’épouse demandait des punitions plutôt brutales et où le formateur enseignait au mari comment utiliser ce type de martinet.

Elle ne sait pas que c’est son mari. J’entrevois la perversité de la situation. Elle accuse les coups. Elle se tortille, cherche à s’échapper. Elle va demander à ce que cela s’arrête ! Il lui suffit d’un signe de la tête ! Mais non, si elle cherche à échapper aux coups, mais est-ce vraiment son envie, à aucun moment un mouvement de la tête ne peut faire penser à un ...

... refus.

Putain, qu’elle est belle ! Je ne comprends pas pourquoi cela me trouble à ce point. Il est vrai que c’est la première fois que j’assiste à ce genre de séance, mais j’ai tout de même un peu de vécu et, comme disaient les anciens, j’ai pas mal roulé ma bosse en faisant mon tour de France. Je suis pas mal foutu et mes muscles attirent souvent le regard des filles et parfois des femmes. Des femmes chez qui je travaillais et qui profitaient de la présence fugitive d’un jeune homme pour vérifier qu’elles pouvaient encore plaire.

Une fois, avec un compagnon menuisier, j’ai pu expérimenter le sexe à trois avec une cliente qui manifestement avait « du vécu » dans ces doubles possessions. De belles entorses à notre charte de compagnon, mais il y a des plaisirs qui ne se refusent pas et après tout « le bel ouvrage » se cache parfois dans les détails…

Il a fini. Le Maître lui fait signe de s’arrêter. Il parle à l’oreille. Elle répond d’un signe de la tête. Le « oui » n’est pas évident. « Oui » pour stopper ou pour continuer ? Pour continuer, car l’homme va chercher un objet que je reconnais comme un vibromasseur, mais pas le modèle de voyage, non, le gros, celui dont la partie vibrante fait le diamètre d’un poignet. Je n’entends pas le bruit, mais de la façon dont la femme réagit alors que la main le met en contact avec le plug crochet, je sais qu’il marche.

C’est comme si elle avait reçu un coup de fouet.

Le Maître, de son autre main, enlève le bâillon. Aussitôt on entend ce que ...