De Toit à Moi. - Histoires de Sexe

De Toit à Moi.

... applique une claque magistrale sur les fesses. Évidemment elle sursaute. Un cri sort de ses lèvres…

— Oui, Maître.
— Je t’avais prévenue… Compte…

Et il recommence sa claque. Claque magistrale. Je ne peux pas voir, mais je devine que les fesses doivent se colorer. Mais elle compte et petit à petit, retient ses cris.

— Deux, trois… douze… vingt.
— Tu en veux encore ?

Elle n’hésite pas et on l’entend clairement :

— Non, merci, Maître.
— Bien. Relève-toi.

Elle lui fait face. Son visage montre qu’elle a pleuré, pourtant il y a comme un sourire sur ses lèvres.

L’homme se lève. Il l’entraîne. Elle se laisse guider vers des menottes qui pendent du plafond. Ses poignets sont emprisonnés. Bientôt ses chevilles subissent le même sort. Son corps devient le centre de ces deux V que les bras et les jambes forment avec ces attaches. Sous les regards du mari, de Martial et de moi, voyeur silencieux, le Maître virevolte autour d’elle dans un ballet bien réglé attrapant objet après objet pour l’en habiller. Ce n’est pas une parure, mais tous les attributs chargés du symbole qui concrétisent le lien si particulier qui les relie. Le mari semble hypnotisé. Je surprends un geste furtif vers son entrecuisse preuve que la scène ne le laisse pas indifférent. A-t-il déjà vu son épouse bien aimée traitée de cette façon ? Il faut aimer sa femme pour l’accepter. La demande de soumission vient de qui ? De Lui ? D’Elle ? Des deux ?

Je comprends que ces accessoires sont les ...

... instruments d’une mise en condition.

Déjà, Elle porte le collier et la laisse. Mais l’homme le serre un peu plus et surtout le tourne pour bien le positionner.

Cette chaîne si fine qui relie les deux pinces dont chacune agrippe un téton pour remonter s’accrocher à un anneau du collier.

Cette sangle qui bloque la sphère dans sa bouche et qui fait le tour de sa tête.

Ces trois sphères métalliques d’un diamètre croissant et qui sont l’extrémité d’une tige métallique dont la courbure est bizarre. Oui bizarre jusqu’à ce que j’en comprenne la fonction, lorsqu’il lui retire le plug pour le donner au mari. Il est remplacé par les trois boules brillantes de crème que l’homme fait entrer dans l’anus sans une vraie plainte que l’on n’entendrait pas d’ailleurs, mais avec un mouvement qui accompagne l’introduction. La tige métallique montre sa raison d’exister lorsqu’elle se transforme en crochet dont l’extrémité libre est elle aussi accrochée au collier du cou.

Équilibre délicat des tensions entre les tétons tirés et la croupe cambrée.

Et le point final avec le bandeau qui lui cache les yeux.

Et le Maître qui caresse ce corps. De sa main, mais aussi avec une « tapette » dont il assène quelques coups, passant de la caresse au coup sans prévenir.

Elle est belle. Les accessoires, s’ils montrent sa soumission, sont aussi des bijoux qui l’embellissent, attirant le regard sur ses charmes.

Un long silence sans mouvement.

J’ai heureusement eu l’idée de supprimer le « clic ...