De Toit à Moi. - Histoires de Sexe

De Toit à Moi.

... pas coquine, bourgeoise, mais ce qu’elle dévoile est de toute beauté.

Le mari continue de la dénuder.

La poitrine se tient fièrement dressée. Les aréoles sont larges, sombres, tranchent sur la peau des seins qui est pourtant dorée par le soleil de ce beau printemps.

Le petit triangle plus clair autour de la fente montre que le maillot de bain qu’elle porte au soleil est des plus réduits. Il attire l’attention sur sa féminité bien plus qu’un bronzage intégral. Aucun poil ne dissimule les arrondis et les plissures vers la fente.

Elle se tient droite, fière. Elle peut l’être. Son corps est une ode à l’amour, ses formes sont des invitations aux caresses, sa fente un objectif pour le regard et bien plus…

— Prenez cette laisse et mettez-lui autour du cou.

Toujours une façon de mettre chacun dans son rôle. L’ambiance change. On pourrait deviner une pointe d’angoisse sur le visage de la femme.

— Amenez-la-moi.

Il ne faut que quelques pas pour que l’épouse soit amenée près du Maître. Ce sont des pas, ici aussi, très symboliques. Il y a quelques secondes c’était juste une épouse que l’homme dénudait devant d’autres hommes. Une sorte de candaulisme « amélioré ». Mais le collier, la laisse et ces quelques pas transforment la proposition en une sorte de don, de cadeau bien plus marqué.

Elle a les yeux baissés. Elle est dans son rôle.

— Faites-la tourner.

L’homme obéit. Sa femme tourne le dos.

— À genoux.

Elle n’attend pas l’ordre de son mari. Elle ...

... s’exécute.

— Parfait.

Le regard du Maître est manifestement dirigé vers la croupe de celle qui lui montre son dos, ses fesses et… Je découvre qu’un objet brille. Que manifestement la femme porte un objet dans son intimité. Il brille. C’est comme un disque, une sorte de pierre et je comprends que c’est un plug. La femme est venue avec un plug dans ses fesses… dans son cul.

Le mari aussi suit le regard de l’homme, je devrais dire des deux hommes. Lui, manifestement intrigué, avance un peu pour découvrir ce que les autres ont déjà remarqué. Il est étonné, mieux, son visage montre une réelle surprise et je comprends qu’il ne savait pas ce que sa femme portait en elle.

— Mais elle… Quoi Hélène pourquoi… tu ne m’as rien dit ?
— Silence.

Le ton est sans réplique.

— C’est moi qui lui ai demandé.
— Mais pourquoi ? Vous ne m’en avez pas parlé. Je ne comprends pas.
— C’est pour une vérification. Je voulais m’assurer qu’elle venait ici de son plein gré et non pas sous contrainte. Si elle n’avait pas mis ce plug, j’aurais annulé la séance pour une raison quelconque… Maintenant on peut commencer. Mettez-vous dans ce fauteuil.

Un silence. Un long silence.

— Tourne-toi. Donc tu veux que je devienne ton Maître.

Elle lève les yeux. Elle a un petit sourire aux lèvres. Elle est manifestement contente de la tournure que prend sa « présentation ».

— Oui.
— Lève-toi… Donne ta main…

Alors l’homme s’en saisit, la tire vers lui, la force à s’allonger sur lui et ...