De Toit à Moi. - Histoires de Sexe

De Toit à Moi.

... Oui. C’est bon, gémit Hélène.
— Encore. Encore, dit la femelle qui se tortille et vient au-devant de mon dard.
— Plus fort. Plus fort, encourage la salope qui en veut toujours plus.
— Encule-moi. Bourre-moi. Remplis-moi. Ahhhhh… hurle la pute, chienne embrochée par ma queue qui se vide dans son cul.

ÉPILOGUE

Les journées me paraissent bien longues depuis qu’Hélène est venue s’installer avec moi. Chaque matin je la quitte avec déchirement, chaque soir je me pose encore la question :Sera-t-elle encore là ? Suis-je à la hauteur ? Mon amour n’est-il pas trop fort…

Depuis deux mois que nous vivons ensemble, soirées, nuits, week-end, sont des instants de pur bonheur. Bonheur de l’esprit, satisfaction du corps. Cela fait maintenant six mois qu’elle est ma maîtresse. Six mois où nous nous découvrons et où son expérience est source de découvertes et de plaisir inattendus.

Je rentre. Je pousse la porte et dis, bêtement :

— C’est moi.
— Je suis dans la chambre.

Merci mon Dieu ! Elle est bien là. Pourtant je n’aurais pas dû en douter, car ce matin, c’est elle qui a délibérément décidé de la « couleur » de la journée.

Oui, elle est bien là, magnifique, rayonnante, majestueuse, maîtresse de ce jour.

Les cuissardes habillent ses jambes de noir jusqu’à mi-cuisse.

Plus haut, elle porte mon « chef-d’œuvre », un chef-d’œuvre que personne d’autre qu’elle et moi ne verra jamais. Il brille de cette couleur si particulière du cuivre rouge verni. Des languettes ...

... reliées entre elles par des sangles, recouvertes d’un côté de tissu pour « épargner » la peau. C’est un corset qui la moule parfaitement, étranglant la taille, magnifiant sa croupe. Mais le plus beau et ce dont je suis le plus fier, ce sont ces deux demi-coupelles martelées avec amour afin que chacune serve de reposoir pour un lobe. Ainsi ses seins paraissent encore plus beaux, encore plus fermes et surtout les tétons dardent comme des friandises.

Ils dardent et je sais qu’Elle aussi a attendu ce moment toute la journée. S’est-elle caressée à son travail ? Moi, je ne pouvais pas et pourtant !

— Déshabille-toi, me dit ma maîtresse d’un jour.

Elle accompagne sa demande par un geste de la main, main qui se prolonge d’une longue tige de cuir avec une extrémité plate, sorte de tapette à moustiques, mais pour un usage bien différent.

J’obéis.

Aujourd’hui, je suis « Le Soumis » et cela fait partie de ses nouveaux jeux. Je porte encore ma salopette de chantier n’ayant pas voulu perdre de temps pour me changer. Elle est vite enlevée. Le maillot aussi, les chaussettes suivent.

Je suis en slip. Un slip qui montre une belle bosse. Mais ce n’est pas mon sexe en érection qui déforme le tissu. Un voyeur découvrirait qu’une fois le tisse enlevé, mon sexe n’apparaît pas du tout érigé, mais au contraire, comprimé, compressé, ratatiné, prisonnier d’une cage dont les barreaux ne lui permettent pas de s’enfuir et encore moins de se développer quelle que soit la sollicitation.

Ce ...