De Toit à Moi.
Datte: 25/11/2022,
Catégories:
fh,
fhh,
fplusag,
couple,
candaul,
Collègues / Travail
fsoumise,
hsoumis,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
intermast,
Oral
fgode,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
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jouet,
sm,
baillon,
yeuxbandés,
fouetfesse,
confession,
dominatio,
Auteur: DeuxD, Source: Revebebe
... derrière moi. Elle est toute à sa possession, ondulant lentement, basculant d’avant en arrière pour mieux me sentir.
Ses soupirs sont des cadeaux. Je suis un mât, viril, sur lequel elle s’enroule. Sa respiration est contrôlée. Elle est concentrée. Mais je sens comme une pression. C’est doux, surprenant comme si son vagin me massait. Cela dure un long moment. Oui, elle me masse et je sens ses contractions. C’est bon, inconnu !
Elle me retrouve. Fini les contractions, elle bouge. Légèrement penchée en avant, ses mains en appui sur le lit de chaque côté de mon torse, elle se baise sur moi. Je vois mon mandrin apparaître pour disparaître à nouveau dans cette fente dont l’humidité est évidente. Elle mouille. Elle a mouillé en me suçant, peut-être même encore avant par nos premiers attouchements, nos premiers baisers.
Elle bouge et c’est bon. Mais je veux plus. D’un coup de reins puissant, je m’extrais de mon fauteuil et elle a juste le temps de s’accrocher à moi. Ses cuisses trouvent ma taille, ses mains entourent mon cou. Moi je la soutiens en plaçant mes mains sur ses fesses.
La table à dessin est notre premier arrêt. Elle lâche mon cou pour passer ses mains au-dessus de sa tête s’agrippant en haut de la planche. Ce geste la fait rendre encore plus désirable, sa poitrine dardant comme jamais, ses reins se cambrant et poussant son intimité encore plus vers moi. C’est bon. Nos regards ne se quittent plus et si elle ferme parfois les paupières, c’est comme un ...
... accompagnement à des gémissements plus forts.
Mon bureau est plus confortable. Je ne suis pas un surhomme et même si mon désir me transcende, mes muscles demandent grâce. Elle est allongée, ses jambes posées sur mes épaules. Je sens ma queue explorer au plus profond. Ce ne sont plus des gémissements, mais des cris maintenant ! Des cris et des mots, des : « Oui… Encore… Baise-moi fort… Je te sens bien… Tu es si dur… si gros… Oh, mon dieu… »
Et puis un : « Attends… » et elle bouge. Elle se libère de mon vit, descend du bureau, mais c’est pour se retourner vers lui et y déposer sa magnifique poitrine.
— Prends-moi par mon petit trou. Je veux être toute à toi.
Son invitation pourrait paraître le signe d’une perversion totale, surtout que joignant le geste à la parole ses deux mains se plaquent sur ses fesses et m’ouvrent le lieu secret qu’elle me propose. Bien entendu, la proposition est « sexe et paillarde » , mais l’offrande « d’être toute à toi » est une musique qui enchante mon cœur.
Mon dard ne réfléchit pas. Il pointe vers l’objet du désir. Il pointe et entrouvre, dilate, apprivoise une corolle qui n’est pas si farouche. Le gland se fait étrangler par un œillet qui fait son office et pourtant ne résiste pas bien longtemps, déjà apprivoisé par sa maîtresse qui lui commande de se laisser forcer. C’est étroit, le conduit m’enveloppe de toute part. C’est étroit et pourtant une fois le gland passé j’entre dans une longue glissade dans un chemin accueillant et humide.
— ...