De Toit à Moi. - Histoires de Sexe

De Toit à Moi.

... matin, c’est Hélène qui me l’a installé. En enfermant ma verge dans ce cocon, elle a placé cette journée sous le signe de Sa Domination. Pour une journée, je suis son esclave comme Elle peut l’être un autre jour.

Je suis son regard entre mes cuisses. Elle sourit. Toute la journée je n’ai pu oublier ce qui m’attendait ce soir. J’ai même dû organiser mon travail pour ne pas me mettre en mauvaise posture.

— Lèche-moi.

Voilà un ordre que je me fais un plaisir d’exécuter. À genoux devant elle. Elle qui s’est ouverte pour que mon visage puisse se placer, que ma langue puisse se glisser dans sa fente et mes lèvres sucer le suc que son envie a déjà produit.

Elle « m’encourage » avec des coups de tapette sur les fesses. C’est bon, elle coule et en quelques minutes je l’entends haleter, je sens ses mains qui appuient sur ma tête, ses cuisses s’ouvrir encore plus, fléchir les genoux pour… Oui, elle coule, elle ruisselle et je capte son jus avec délice.

Aucun doute elle était toute chaude. Mais déjà elle recule et :

— Va le chercher.

Elle n’a pas besoin de me dire plus. Je sais ce qu’elle veut. Il est dans la table de nuit. Je le sors. Il est à la fois souple et dur. J’avais essayé d’en faire un en bois, poli avec amour, reproduction parfaite de deux verges en érection, une pour qu’elle remplisse la fente d’Hélène l’autre pour… Mais le synthétique a parfois un avantage et en un clic, surtout ne le répétez pas, on vous livre ce dont vous avez besoin.

Je suce les ...

... deux bites. Elle aime que je le fasse. Je glisse la première dans sa fente. Elle y pénètre comme dans un pot de crème. La ceinture se ferme autour de sa taille et les deux autres sangles autour de ses cuisses. Le gode-ceinture est en majesté. La deuxième bite la transforme. Il pointe comme une prolongation de son intimité. Femelle transformée en mâle.

— Allonge-toi.

Le lit est là qui me tend les bras. Je m’y allonge sur le dos, les jambes pendantes. Déjà elle est vers moi, impatiente d’user de son pouvoir. Ses mains s’emparent de mes chevilles et les soulèvent dans un V dont la pointe est l’objet de son regard. Le mandrin sombre y avance, se plaque contre mon petit trou, dilate mon muscle que ma respiration contrôle, écarte les chairs, pousse le gland parfaitement dessiné, avance encore, encore dans une poussée continue, sans fin qui m’envahit, me remplit jusqu’à ce que le ventre délicat de ma maîtresse vienne se plaquer contre mon pubis.

Il est en moi. Une sensation chaque fois renouvelée depuis qu’Hélène m’a initié à ce plaisir.

Elle m’encule. Oui, je n’ai pas peur de ce verbe « enculer » que certains trouvent vulgaire, mais qui n’en connaissent pas vraiment l’essence. Elle m’encule et déjà ses mouvements me travaillent. C’est bon. Je ferme les yeux pour mieux ressentir ce que je subis. Le mandrin sombre, noir comme de l’ébène, chargé de tant de symboles me ramone le cul. Ma maîtresse me laboure et c’est bon. Je sens du plaisir, de l’excitation. Mais ma verge est ...