De Toit à Moi. - Histoires de Sexe

De Toit à Moi.

... main qui joue avec mes couilles lance un doigt en exploration vers une direction très secrète. Sans m’en rendre compte, j’ai avancé sur mon fauteuil et je suis « disponible ». Mon petit trou est accessible et le doigt en fait le tour.

C’est bon. C’est divinement bon. À ce rythme je ne vais pas pouvoir tenir longtemps.

— Attention, je vais venir. Viens.

Je dis en lui tendant une main pour qu’elle se relève.

— Je voudrais te garder en bouche. Je peux ?

D’habitude ce sont les hommes qui demandent ce cadeau. C’est vrai qu’elle n’est pas tout à fait comme celles qui j’ai déjà croisé même si certaines accumulaient les baises d’un soir.

— Je suis clean.

Bien sûr que j’ai fait un test !

Alors elle se déchaîne. Il ne faut qu’une minute ou deux pour que je sente ma sève vouloir rompre le barrage que tout homme essaye de maintenir le plus longtemps possible.

— Je viens ! Je viens.

Mon cri est celui du plaisir imaginé depuis ce fameux soir. Ma jouissance explose. Elle en profite pour pousser son doigt dans mon petit trou et je le sens se crisper pour venir flatter ma glande.

— Ahhhh.

Des semaines de frustrations suivies de journées d’espoir. J’ai l’impression que je n’en finirai jamais ! Jets après jets je me libère. Ma queue est une fontaine d’où jaillit ma liqueur que j’imagine se répandre dans la gorge accueillante, contrôlée et dirigée par une langue agile, provoquant des grognements indistincts, mais dont la perversité renforce encore ma ...

... jouissance.

Même le« Old Faithful » doit se reposer. De longues secondes, Hélène me garde en bouche, puis elle se retire. Ma queue est brillante, mais sans véritables traces. On ne peut pas dire la même chose des lèvres et du visage de ma bien-aimée. Des traînées blanchâtres s’échappent de ses lèvres. Des coulures infâmes, mélange de salive et de liqueur, maculent son menton. Mais qu’elle est belle ! Son sourire, qui paraîtrait vulgaire chez une autre, est le signe du plaisir qu’elle m’a donné et qu’elle a apprécié aussi. Cela doit être cela l’amour. Tout transcender. Ce que l’on trouverait vulgaire sur une autre même si c’est pour vous donner du plaisir, est un cadeau venant d’elle.

— Eh bien ! dit ma Belle en regardant ma bite qui ne semble pas avoir perdu de sa vigueur.

Une main s’en empare et semble tester sa dureté. Elle est dure, ô, que oui ! Elle en est presque douloureuse. Hélène semble apprécier. Elle se lève, en profite pour sortir de son sac un mouchoir dont elle s’essuie le visage. Dommage ! Le spectacle de sa figure était comme un tableau que ma jouissance avait dessiné.

Elle se lève et vient sur moi. La main guide mon mandrin vers sa fente. Ma pointe découvre la douceur de sa peau. Mon gland découvre la chaleur et l’humidité d’une grotte sombre. Ma hampe est lentement aspirée. Ma queue a disparu. Elle est assise sur moi. Je veux l’embrasser, qu’elle partage avec moi ma crème, un plaisir rarement partagé. Mais elle se tient droite. Son regard semble perdu ...