1. De Toit à Moi.


    Datte: 25/11/2022, Catégories: fh, fhh, fplusag, couple, candaul, Collègues / Travail fsoumise, hsoumis, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, intermast, Oral fgode, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, jouet, sm, baillon, yeuxbandés, fouetfesse, confession, dominatio, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... et constate ce qu’elle déclenche.
    
    — Allons dans ton bureau.
    
    C’est presque au pas de course que je l’entraîne.
    
    — Doucement. Impatient !
    
    Je ralentis. Enfin la porte. J’ouvre et la laisse entrer.
    
    C’est elle qui me guide. Elle me pousse vers le fauteuil et m’y fait asseoir. Je veux l’enlacer, mais elle fait un pas hors de portée.
    
    Elle me regarde. Nos regards se croisent. Elle doit voir du désir dans le mien et moi des étoiles. Elle passe la main dans son dos. L’autre soulève ses cheveux. Je peux suivre le déplacement de la fermeture à la façon dont sa main descend. Ses deux mains reviennent vers ses épaules et repoussent les bretelles.
    
    La robe est au sol. Elle est devant moi, nue, totalement nue. Elle ne portait rien dessous. Elle est venue à moi pour se donner. Je ne sais si c’est un amour naissant ou juste une envie de sexe, mais elle est avec moi. Je vais me lever, mais, de ses lèvres soulignées de rouge, elle me dit :
    
    — Laisse-moi faire.
    
    C’est une demande bien facile à honorer. Elle soulève mon tee-shirt le faisant passer par-dessus tête et s’attaque à ma ceinture. Je la regarde, étonné, animée d’une certaine fébrilité et bataillant un instant avec la boucle.
    
    De l’amour ou du sexe ? Qu’importe !
    
    Je l’aide à tirer sur le pantalon et mon slip.
    
    Il jaillit. Ma tige est tendue d’une ardeur d’adolescent. Il est si dur, mon excitation est si forte, que libéré il reste comme en apesanteur et ne faiblit pas sous son propre poids.
    
    Ce n’est pas la ...
    ... première fois qu’une femme se penche ou s’agenouille devant moi pour, soit me branler, soit me sucer. C’est un moment magique qui se répète, mais est toujours différent. La façon de plier les genoux. La façon de regarder. Regarder le mandrin, mais aussi mon visage. Le regard, brillant, intrigué, impatient, parfois blasé. Chaque femme à sa façon.
    
    C’est une déesse qui s’agenouille. C’est une gourmande qui avance son visage, la bouche déjà entrouverte, qui pose ses mains chaudes sur mes cuisses pour les ouvrir un peu plus et s’avancer au plus près.
    
    Juste les lèvres qui se posent sur la peau si délicate de mon gland et je frémis. J’ai rêvé de cet instant et de tant d’autres !
    
    Mon gland est une friandise qu’une langue déguste. J’entends un bruit de gorge, un grondement de satisfaction.
    
    Ma hampe disparaît lentement, puis réapparaît. Mes bourses sont enveloppées d’une paume de main brûlante.
    
    Elle me suce divinement. Il en faut de peu que toute ma queue soit gobée. Les lèvres rouges rampent à chaque fois un peu plus loin. Lorsqu’elle se retire pour reprendre son souffle, nos regards se croisent. Ma queue ruisselle de salive et des filets se tendent avec ses lèvres.
    
    Je gémis. J’accompagne ma suceuse par des petits bruits qui sortent de ma gorge accompagnant mes encouragements plus distincts comme : « Oui… C’est bon… Oui. »
    
    Elle sourit d’un sourire humide, gluant qui n’arrive pas à l’enlaidir. Elle devient de plus en plus pressante. Elle me branle de ses lèvres, sa ...
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