La Plantation - Histoires de Sexe

La Plantation

... voulait. Peut-être qu'elle l'avait toujours convoité. Peut-être en avait-elle rêvé, d'être dominée par cet être diabolique.

J'ai regardé ses doigts fins et délicats s'emparer de son membre. Je les ai regardés explorer sa surface tumescente et son gland arrogant. Et ses yeux qui lui criaient «s'il te plaît». Sa bouche fouillait la sienne, et il commença à frotter sa bite entre ses lèvres, le long de sa fente de chatte.

Silencieux, avec un calme impressionnant, il s'est glissé en elle. Soulevée de terre, elle haletait sur lui en enroulant ses jambes autour de sa taille. J'ai regardé tout son corps se cambrer avec la pénétration. Elle gémissait contre lui, le visage dans son cou, se tenant fermement du mieux qu'elle le pouvait.

Il a commencé à la baiser avec un mouvement fluide, déplaçant son corps sur sa bite, comme si elle était un gant. Entrer et sortir, de plus en plus profondément, jusqu'à ce qu'elle ait des spasmes sur lui.

«Bonne petite, tu en crevais d'envie, hein? Depuis le début?» Il badinait en lui giflant les fesses.

Elle hoquetait en geignant, la tête sur son épaule, rouge d'excitation, tandis qu'il la pompait.

«Elle est à moi, maintenant» dit-il crûment, son regard triomphant posé sur moi.

Jennifer implorait Léon de la prendre plus vigoureusement.

«Elle est mienne, et tu vas vivre dans la cabane avec les autres guenilles. Dans la cabane où il pleut par le toit crevé».

Jennifer convulsait contre lui. Son corps entier tremblait sous la ...

... force de l'orgasme. C'était comme un mariage. Elle s'offrait et il la prenait. Elle était sienne.

«Vas là-bas tocard, vas faire ton lit dans cette cabane, tu expliqueras à Jésus comment les choses vont évoluer, et puis tu boiras le rhum, et tu fumeras l'herbe. Trois joints, roulés serrés, au minimum, lopette, et tu reviendras vers nous, soumis et doux comme un agneau.»

Oh, putain de merde. Il a juté en elle. Il a foutu Jennifer, et je l'ai regardée sauter sur sa bite, en poussant de petits cris.

«Vas-y, tu cours comme un bon petit esclave de plantation» ricana-t-il, ses couilles se vidant en elle.

J'ai trébuché dans les escaliers et titubé dans la cour. Les ouvriers avaient volé mes vêtements sur le sol. Je ne serai plus jamais autorisé à regarder Maîtresse Jennifer avec du désir dans les yeux. Je ne serai plus jamais autorisé à la convoiter avec espoir. Devant elle, regard baissé, regardant ses bottes.

Le contremaître se tenait à la porte de la cabane qui devait être ma maison. Les autres faisaient cercle, le regardaient. Cet enculé me regardait avec de la haine dans les yeux.

«Serviteur, va me chercher de l'eau» dit-il d'un air arrogant.

J'ai puisé l'eau dans le tonneau du hangar. Je l'ai regardé la boire lentement. Le gobelet vidé, il me l'a tendu «encore». Je suis retourné chercher de l'eau. Il l'a mis dans sa bouche et m'a craché au visage.

Dans le magasin, j'entendais que Jésus avait un «accident». Il grognait fort à chaque fois qu'un africain se ...