1. La Plantation


    Datte: 06/11/2022, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byRainett, Source: Literotica

    ... dégonflé comme une baudruche.
    
    «Les ouvriers vont t'accueillir comme l'un des leurs, maintenant. Tu vas connaître le bas de l'échelle, tocard. Tes congénères vont bien s'occuper de toi, j'en suis sûr.»
    
    Jennifer l'écoutait, elle buvait ses paroles, elle était en transes. Elle s'est jetée à cou, l'a embrassé à pleine bouche. Son désir, son impatience, m'ont brûlé le cœur de jalousie. Je regardais ses doigts qui la travaillaient de l'intérieur. Elle s'est embrasée et ses hanches ont commencé à osciller sous sa caresse.
    
    «Jennifer, ma chérie, tu vas appeler les ouvriers agricoles. J'ai à leur parler, maintenant» ordonna-t-il.
    
    Ma femme m'a regardé. J'ai secoué négativement la tête. Mais elle l'a ignoré. Elle m'a dédaigné. Je l'ai regardée s'éloigner à regret de ses doigts tripatouilleurs. J'ai senti l'exaltation qu'elle avait pour le bâtard.
    
    J'ai senti sa ferveur et son trouble. Elle n'a pas pris la peine de reboutonner son short. Léon ne l'avait pas obligée à garder son short ouvert, à montrer sa chatte. Elle est sortit lentement, ses hanches oscillaient de cette façon qu'ont les salopes qui excitent le mâle, qui ont besoin d'avoir tous les yeux braqués sur leur cul, qui espèrent un coup de bite.
    
    «Où est Jésus?» demanda Léon quand les ouvriers furent rassemblés. Il était ivre, cuvant dans un coin, roulé en boule.
    
    Léon s'est tourné vers moi : «Tu fumes et tu bois un peu, petit?»
    
    J'ai secoué négativement la tête. C'était pour les perdants. C'était pour les ...
    ... types qui n'avaient rien à espérer.
    
    «Tu vas t'y mettre, salopard, car ce sera ton salaire, et ça t'aideras à supporter...»
    
    Il se moquait de moi, Jennifer blottie tout contre lui, son bras musclé autour de sa taille. Elle tremblait. De peur, peut-être. Je ne pouvais pas supporter que ce soit d'excitation. Ni d'empressement.
    
    Léon commença son discours d'une voix forte, le visage levé comme s'il prononçait un putain de sermon :
    
    «Les rôles changent ici. Beaucoup de bon, pour vous, mes frères ...Robert, ce minable, là, n'est plus le maître. C'est un serviteur, maintenant. Pour vous. Il va vous servir, porter de l'eau pour vous, braves garçons qui travaillez dur. Il va nettoyer vos vêtements. Il va vous traiter avec respect! Il vous appellera monsieur, chacun de vous. Il m'appellera maître Léon, et il appellera cette femme que voilà Miss Jennifer, tout comme vous. Je prends la direction du domaine. C'est moi le patron, dorénavant. On va faire pousser une belle récolte. Et on va gagner beaucoup d'argent.»
    
    Il s'arrêta pour laisser pénétrer l'idée dans leurs crânes obtus. Je regardais les hommes qui se regardaient. Qui me regardaient. Qui nous regardaient. Finalement, ils ont souri, leurs dents blanches montraient qu'ils comprenaient ce qui se passait.
    
    J'ai frissonné. Putain d'enfoiré. Ce que nous avions mis en place avec Jésus, allait maintenant se retourner contre nous. Jennifer m'a regardé. Un regard plein de dédain en se blottissant dans ses bras.
    
    «Trouvez-moi ...
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