La Plantation - Histoires de Sexe

La Plantation

... cet ivrogne de Jésus, et mettez-le au boulot, comme Robert, la petite vermine! Apprenez-leur à se pencher pour travailler la terre.»

Puis Léon a embrassé ma femme. Devant eux. Il l'a embrassée, et elle a répondu. Elle s'est pendue à son cou, offrant ses lèvres, et elle l'embrassa amoureusement, voluptueusement. Les ouvriers se donnaient des coups de coude. Ouais, c'était vrai. Ils commentaient dans leur putain de patois.

J'imaginais à quel point cela devait ressembler à une nouvelle ère brillante pour eux. Léon jouait avec les poils de la chatte de Jennifer. Avec ses gros doigts, il la fouillait. Puis il leur a donné le signal du départ.

S'adressant à moi : «Viens avec nous là-haut, tocard, j'en ai pas fini avec toi» dit sombrement Léon.

Je suis passé devant. Poussé dans la chambre principale. J'ai dû vider la grande armoire coloniale de tous mes beaux vêtements, et tout jeter par la fenêtre. Dans la cour. Il m'a dit que je porterais des treillis maintenant. La combinaison de travail rugueuse et transpirante que portaient les autres cloches.

Merde. Fais chier ce con, maintenant. J'ai serré les poings et je me suis tourné vers lui. Son poing m'a attrapé à l'angle de la mâchoire, et je me suis effondré sur le sol.

«Tu dois apprendre, lopette, tu dois apprendre à tenir ta place, tu entends?» Il murmurait entre ses dents serrées.

J'ai touché ma bouche. Ma lèvre était fendue et j'étais groggy. Il m'a tendu la main, pour m'aider à me relever. À peine debout, ...

... chancelant, il m'a balancé un deuxième coup de poing. Je me suis étalé.

«Enlève-lui son short, connard» ordonna-t-il.

Jennifer attendait. Agenouillé devant elle, j'ai baissé son short. Sa chatte humide, ornée de poils frisés, était devant mes yeux. Léon m'a montré ce qu'il lui faisait avec ses gros doigts. Ce qui la mettait en transes. Il m'a montré comment il l'ouvrait, travaillait dans sa chatte jusqu'à ce qu'elle soit béante, ses chairs humides et pulpeuses apparaissaient.

«Sens-moi cette chienne!» ordonna-t-il «Elle en a besoin, mec. Elle en a vraiment besoin!»

J'ai senti la chatte de Jennifer. J'ai humé son fumet capiteux. Sa chatte dégoulinait d'impatience.

«Lèche-la, connard. Tu es notre putain d'esclave, maintenant, tu entends?»

J'ai léché la chatte de ma femme, et j'ai failli tomber face en avant quand elle a écarté son corps brusquement. Elle n'a pas apprécié ma bouche goûtant sa chatte.

«Allons, Jennifer, Nous devons lui apprendre la discipline...il est aussi ton esclave maintenant.» lui lança-t-il.

«Oui, Léon» elle tremblait.

«Le seul moyen pour cet esclave de rester en vie, c'est d'être un bon esclave» continua-t-il.

Jennifer acquiesça, puis elle l'a supplié :

«S'il te plaît...Je te veux Léon...S'il te plaît».

Il avait les doigts dans sa chatte, elle s'accrochait à lui, j'ai reçu l'ordre de le déballer. Mes mains tremblaient. Sa bite était tout aussi agressive que le reste du personnage. C'était énorme, noueux, tordu. Jennifer le ...