Aurore ou la voie de la soumission (4) - Histoires de Sexe

Aurore ou la voie de la soumission (4)

... chatte comme la bonne petite salope que tu es. Alors pas de chichi, aspire mon jus, aspire mes lèvres, aspire mon clitoris, fais-moi jouir, procure-moi un orgasme, sinon gare à toi !

Je ne prends plus de précaution, je la dévore puisqu’elle l’exige. J’enfourne ma langue du mieux que je peux, je bave, je mordille son clitoris, ce qu’elle semble particulièrement apprécier. Elle me dit de mettre les doigts. Mais non petite gourde, pas un, pas deux, trois au minimum. Je la fouille. Elle se tord, presse ma tête plus fort de ses deux mains. C’est une véritable cascade qui s’écoule de son vagin. Elle bouge son bassin en cadence jusqu’à obtenir un spasme. Elle me crie d’arrêter. Tout de suite.

Maîtresse Cécile met peu de temps à se remettre de ses émotions. Elle se lève. Je suis toujours à quatre pattes. Elle vient se positionner derrière moi et ouvre le cadenas en bas de mes reins. La languette tombe entre mes cuisses. Je ne sais plus quoi penser. Va-t-elle me rendre la pareille ? J’en ai envie et j’ai honte d’en avoir envie. Elle fait glisser la baguette sur mon sexe, entre les lèvres. Je frémis.

— Penses-tu m’avoir satisfaite ?

— J’ai fait de mon mieux, Madame.

— Ce n’est pas la réponse que j’attendais.

Elle déclenche la baguette. Cette fois, le choc est violent. Je tombe sur le tapis, dans la position fœtale, parcourue de spasmes.

Une fois que je me suis calmée, Maîtresse Cécile reboucle la ceinture et m’emmène à l’étage du dessus, dans une petite chambre. Il y a un lit et une couverture. « Repose-toi » me dit-elle.

Tout en m’assoupissant dans la tiédeur de cette couche qui me parait si douillette après le séjour dans la cage, je me demande quelles nouvelles menaces peuvent bien couvrir les dernières paroles de Maîtresse Cécile.