Aurore ou la voie de la soumission (4) - Histoires de Sexe

Aurore ou la voie de la soumission (4)

... pourraient la diffuser sur des sites pornographiques, mais nous savons rester discrets. Tu comprends ?

Je donne mon assentiment de la tête en prenant l’attitude la plus humble possible.

La projection terminée, elle m’ordonne de rester immobile et s’absente quelques instants. Quand elle revient, elle tient un gros tasseau de bois à la main. Il mesure plus d’un mètre de long pour un calibre de quatre centimètres. La matière est brute et rabotée, les bords tranchants. Elle pourrait me briser les membres avec un pareil engin. Dans un frisson, je me souviens de la promesse de punition. Je vais m’abstenir de protester ou de demander pitié, car je m’exposerais à de plus sévères sévices.

— Rassure-toi, je ne vais pas te frapper, me dit-elle. Enfin, pas tout de suite.

Elle pose le morceau de bois sur le tapis.

— Mets-toi à genoux sur la lambourde et place tes mains derrière ta tête.

J’obéis sans attendre. Maîtresse Cécile croise les bras et me regarde. Plusieurs minutes s’écoulent. J’ai de plus en plus de difficulté à tenir les bras au-dessus de la tête. Mes muscles me font souffrir et les arrêtes du tasseau me rentrent dans les genoux. Maîtresse Cécile sourit en me regardant trembler, puis elle se penche sur moi et commence à me chatouiller délicatement les côtes. Je tiens bon. Je crois que cela l’énerve. Elle applique la baguette sur mon ventre, sur la pointe des seins et elle envoie des décharges, de plus en plus longues. Je serre les dents.

Finalement, elle ...

... se lasse de ce petit jeu. Elle est sans doute un peu déçue que je ne me sois pas rebellée.

— Il est temps de passer à autre chose, petite chienne.

Elle s’assied sur un fauteuil et me dit de venir.

— Retire ma culotte.

Je pose les mains sur ses cuisses fermes et, pendant qu’elle se soulève un peu, je remonte jusqu’au slip. Doucement, je la déshabille. Je ne me souviens pas d’avoir été attirée par les femmes. Oh bien sûr, je l’ai déjà fantasmé sans doute, mais je n’aurais jamais pensé passer à l’acte et, là, je vois le sexe de Maîtresse Cécile à quelques centimètres de mon visage. D’abord un triangle de courts poils noirs qui pointe vers le bas. Le reste de son pubis est rasé. Je découvre ses grandes lèvres imberbes, allongées et qui pendent un peu. Chacune d’elle est percée et traversée d’un anneau. Au-dessus, son clitoris est bien visible, tendu, bien plus gros que le mien. Sa chatte est entrouverte et les petites lèvres rouges ressortent sur sa peau mate.

— Eh bien, qu’est-ce que tu attends ?

Suceuse de bite, catin, pourquoi pas lesbienne ? Oui, je vais le faire, je vais obéir. Je me rapproche, les lèvres en avant. Je sors la langue, je touche le clitoris délicatement. Le goût est salé, légèrement métallique. La douceur du contact me rappelle la peau du gland de Maître Luc, combien j’ai apprécié ce moment où je l’ai sucé pour la première fois ?

Je prends un coup sec de baguette sur les fesses.

— Je ne suis plus une gamine ! Je veux que tu me bouffes la ...