1. Aurore ou la voie de la soumission (4)


    Datte: 04/11/2022, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Axelya, Source: Xstory

    ... d’eau bu, elle reprend :
    
    — Maître Luc et ses amis veulent que je te transmette un message. Ils sont satisfaits de ta prestation de ce matin et t’offrent une récompense. Un dessert.
    
    Elle me tend alors un unique abricot sec. Il est absolument délicieux, juteux et fruité. Le meilleur dessert que j’aie jamais mangé.
    
    — Tu vas apprendre la patience, petit cœur. La privation donne une dimension supplémentaire au plaisir, quand on peut de nouveau se sustenter.
    
    Sur ces mots, elle me sort de la cage en me tirant par une oreille. C’est très douloureux et humiliant.
    
    — Maintenant, mets-toi à quatre pattes comme une bonne chienne.
    
    Elle remplace mon collier par un autre, plus petit et plus serré. Elle y accroche une laisse métallique.
    
    — Nous allons poursuivre ton éducation. Vois-tu ce que je tiens ? Une petite baguette. Elle est magique. Elle envoie des impulsions électriques. Brièvement, c’est désagréable, à plus long terme très douloureux. Je t’en donne un exemple.
    
    Elle pose l’extrémité de la baguette sur ma fesse gauche et je sursaute sous le choc. J’ai déjà eu l’occasion de prendre des châtaignes. Le courant est bien plus faible, mais désagréable quand même.
    
    — Nous remontons au salon. Je te laisse passer devant.
    
    Je dois traverser un petit couloir à quatre pattes. Sur la gauche, une grande porte à doubles battants donne sur la cave, sur la droite, au fond, un escalier. De temps à autre, Maîtresse Cécile pose l’extrémité de la baguette sur une partie de mon ...
    ... corps, pour bien me rappeler ce que je risque en cas d’incartade.
    
    Nous montons à l’étage. Quand nous arrivons dans le grand salon, il est vide de présence humaine. Un des murs porte un grand miroir au cadre d’argent finement ouvragé. Mon corps nu s’y est déjà plusieurs fois reflété, lors de la séance de tonte et pour l’épreuve orale. Maîtresse Cécile prend place sur le grand canapé rouge. D’un rapide geste du poignet, elle envoie une décharge électrique sur une de mes cuisses pour m’inviter à m’accroupir à ses pieds.
    
    — Maintenant que tu as bien déjeuné, que dirais-tu de regarder un petit film pour nous distraire ?
    
    — Comme vous voulez, Maîtresse.
    
    Elle actionne une télécommande et un écran descend du plafond en face de nous. Dès le début de la projection, même si les images sont très sombres, je reconnais la cave de la maison. On distingue une jeune femme, nue, attachée, et un homme, de dos, qui verse de la cire brulante sur la peau offerte. La jeune femme, c’est moi. Je me souviens de l’homme au téléphone qui prenait des photos. Tout ce que j’ai vécu depuis hier a été filmé. La tonte, les fellations multiples, les coups de martinet dans la cave. Tout. Les hommes sont cagoulés, ou se tiennent dans l’ombre, impossible de les identifier. Le montage a été effectué de telle sorte que l’on ne puisse reconnaitre personne d’autre que moi.
    
    — Vois-tu, dit Maîtresse Cécile, cette vidéo n’a pour but que de nous divertir et nous rappeler de bons souvenirs. D’autres que nous ...