1. La course


    Datte: 29/10/2022, Catégories: fh, fff, ffh, hplusag, copains, Collègues / Travail sport, douche, intermast, Oral nopéné, jeu, Humour occasion, Auteur: Cormobin, Source: Revebebe

    ... truc que je ne pensais jamais dire à un mec : tu ne penses plus avec ta tête, tu penses avec ta queue. Tu dois y arriver, non ? Attention, pas un mot, tu réponds uniquement en hochant avec la tête.
    
    J’acquiesce bien volontiers, d’autant que sa main, chaude, comme l’eau est assez agréable, pour ne pas dire très agréable, et commence à me faire du bien. Marie s’en rend compte et se tourne vers Clotilde et Julie qui ne savent pas trop comment se comporter.
    
    — Ah, ça y est, les filles, il commence à bander, il bande, c’est bien. Clotilde, hier, tu as payé de ta personne. Aujourd’hui, tu es dispensée, donc tu fais le guet. Quelqu’un pourrait venir, on pourrait se méprendre, et on jaserait. Il faut éviter tout incident. Mais tu regardes un peu quand même, ce serait dommage que tu ne profites pas au moins de la vue.
    
    Et elle m’adresse la parole :
    
    — Regarde-la, Simon, elle est mignonne Clotilde, beau cul, beaux seins, non ? J’opine du chef. Tu ne voyais rien, hier soir, quand elle te suçait, donc là, tu te rattrapes, profite. Et Julie, elle est comment ? Pas mal non plus, un autre genre, mais baisable, non ? Mais pas de ça aujourd’hui, ne t’emballe pas.
    
    Elle s’adresse à Julie :
    
    — Bon, Julie, ne reste pas comme ça, les bras ballants, je ne vais pas non plus le branler pendant des heures. Maintenant qu’il bande bien, on ne peut pas le laisser comme ça, et comme on n’a pas non plus des heures devant nous, viens m’aider.
    
    Julie s’approche, mais est toujours hésitante, ...
    ... donc Marie continue, elle a maintenant pris totalement les choses en main.
    
    — Allez, Julie, caresse-lui les couilles, j’imagine que tu sais faire.
    
    Julie dit « oui, oui » et elle me caresse, elle s’enhardit. Marie s’en aperçoit et me lâche, et elle dit à Julie :
    
    — C’est bien, branle-le, maintenant.
    
    Julie est totalement dans l’action. Marie continue :
    
    — Et moi, regarde-moi, tu vois, j’ai passé les quarante, mais je suis encore pas mal, non ? Mes seins sont encore fermes, tu veux les toucher ? Oui, vas-y, touche-les, oui, pince-moi les tétons, j’adore, oui. Et ma chatte ? Touche-la, oui .
    
    Je ne sais pas refuser quoique ce soit à mes collaboratrices. Elles le savent. Elles en abusent. Mais pour ne pas les vexer, et préserver leur ardeur, au travail, je m’exécute. Ses seins et sa chatte sont très bons. Marie me parle alors doucement :
    
    — Maintenant, tu me préviens quand tu vas jouir, et surtout, ne tarde pas, ne te retiens pas, on n’a pas des plombes devant nous, et ce serait dommage, vu ton état, qu’on s’arrête maintenant si quelqu’un arrivait, non ?
    
    Je ne veux pas la contrarier, j’opine encore. Je profite de toutes ces attentions, mais je retiens la demande et je dis peu de temps après :
    
    — Marie, ça vient.
    
    Aussitôt, Marie se baisse et dit à Julie :
    
    — Surtout, tu ne t’arrêtes pas.
    
    Et elle me prend en bouche. J’y étais presque, mais là, l’effet est immédiat, une, deux giclées dans la bouche de Marie, qui pourtant se retire :
    
    — Allez, Julie à toi, ...
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