1. La course


    Datte: 29/10/2022, Catégories: fh, fff, ffh, hplusag, copains, Collègues / Travail sport, douche, intermast, Oral nopéné, jeu, Humour occasion, Auteur: Cormobin, Source: Revebebe

    ... l’endomorphine qui doit la pousser, Julie ajoute :
    
    — Simon, viens avec nous, si tu n’as pas peur, on ne te mangera pas.
    
    Surtout, ne pas bloquer la dynamique de groupe et les initiatives individuelles, j’ajoute :
    
    — OK, j’arrive.
    
    C’est vrai que le vestiaire est assez grand, il y en a même plusieurs, probablement, mais je ne veux pas me dissocier du groupe. Petit moment de silence quand on pose les sacs sur les bancs. C’est un vestiaire sans doute ancien, mais bien rénové. Des fenêtres, ou plutôt des vasistas. Un vestiaire collectif. Julie, toujours très en forme, explore les lieux :
    
    — Il y a des douches, vous croyez qu’il y a de l’eau chaude ?
    
    Et en même temps, elle appuie sur le bouton, et juste après, un peu de vapeur :
    
    — Oui, il y a de l’eau chaude, allez, hop, on y va.
    
    Et Julie, donc la plus sportive, qui a donc l’habitude, semble oublier ma présence, ou n’en tient pas compte, et se déshabille et se précipite sous la douche. Marie et Clotilde hésitent à peine. Marie, sans pudeur, tout en se déshabillant, se tourne vers moi, et dit :
    
    — Allez, Simon, avec nous.
    
    En partant les rejoindre, petit coup d’œil, ne perdons pas de vue les statistiques, et donc je dirai que pour ce qui concerne ce qu’il y a sous le short, un tiers de la population (Marie) ne porte rien, un tiers est en string (Julie) et un autre tiers un shorty (Clotilde). Faudra tout de même d’autres échantillons pour confirmer ces premiers éléments.
    
    C’est une grande pièce, une ...
    ... douzaine de douches, donc largement assez de place pour nous quatre. Des distributeurs de savon, comme il y en a partout, dans les piscines publiques, par exemple, et les filles se savonnent, sans pudeur. Après tout, c’est naturel. Petits sourires quand j’arrive, nu aussi :
    
    — Ça va, Simon, pas trop intimidé ?
    
    Je souris :
    
    — Mais non, mais non, ça va . Et je continue à leur parler : vous savez, les filles, je suis d’une génération où le nudisme sur les plages était beaucoup plus développé qu’aujourd’hui. Vous êtes trop jeunes pour avoir connu ça. C’était tranquille, quasi désexualisé, on se regardait dans les yeux, il n’y avait aucune ambiguïté, pas de sous-entendu. C’était d’ailleurs plutôt du naturisme que du nudisme. Il y avait des familles sur la plage, habillées, et juste à côté des personnes nues, ça ne gênait personne.
    
    Et là, Marie m’interrompt, en souriant :
    
    — Simon, on t’aime bien, et si c’était pas le cas, on ne t’aurait pas amené avec nous et en ce moment, tu ne serais pas à poil avec nous sous la douche.
    
    Elle se rapproche, toujours avec un grand sourire :
    
    — On n’est pas au bureau. Au bureau, c’est toi le chef, donc on est obligé de t’écouter, quand tu pars sur tes discours, mais ici, on est tous égaux, il n’y a pas de chef, on ne veut pas passer des heures à t’écouter, alors tu ne parles plus, OK ?
    
    Et elle continue, tout en m’attrapant la queue, sans précaution, alors que je suis totalement au repos :
    
    — Là, tu te tais, donc, et je vais te dire un ...
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