La Vie de Solange, ou les mémoires de la Comtesse de *** (9)
Datte: 11/10/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Mir, Source: Xstory
... verges, dont celle d’un prêtre ?
- Oh, mon cousin, je ne sais ce qui me saisit, je veux m’offrir à vous deux, sincèrement et non par obligation, y prendre plaisir, si vous y consentez…
Les yeux d’Armand brillèrent.
- Il y a bien longtemps que j’y songe ardemment, ma cousine. Deux virilités vous foutant. Votre plaisir ne saurait surpasser le mien à vous sentir, contre moi, subissant notre double assaut.
Le prêtre commença à forcer mon œillet de son vit. Il n’eut pas à me travailler longtemps, ma chair s’ouvrit avec abandon sous lui, me faisant soupirer longuement, reconnaissant le dard qui m’enconnait en fait plus souvent que celui de mon cousin.
Il m’enfonça lentement toute la longueur de son membre, avant de s’immobiliser. J’haletais déjà de satisfaction et de reconnaissance à être si bien emplie, en mon cul et en mon con.
- Ma cousine, dites-moi votre plaisir…
- Oh, mon cousin, je suis pleine… pleine… C’est ainsi que l’on peut parler de plénitude… Vos deux verges me comblent, m’emplissent, me prennent entièrement… Quel plaisir inouï d’être entre deux !
Je n’osai ajouter « maîtres ». C’est ainsi que je considérais mon cousin, mon maître dans les choses du sexe et de la connaissance, mais peut-être prendrait-il ombrage de voir que j’aimais me livrer à un autre que je considérais aussi comme mon maître.
Le prêtre me vergeait lentement, mais veillait à m’enfoncer toute la longueur de son vit, essayant de continuer à me pénétrer par à-coups brutaux ...
... lorsque ses testicules étaient plaqués contre moi. Il marmonnait « En profondeur, en profondeur, oh je vous ferai crier, madame, je vous ferai crier… »
Je geignais de plaisir, mais j’avais bien compris que cela ne suffisait pas à cet homme damné. Il s’immobilisa et m’introduisit deux doigts, m’élargissant douloureusement l’œillet, tandis que sa verge était toujours enfoncée en moi. Je criai de surprise et de souffrance ; il me laissa quelques instants m’habituer avant de reprendre ses mouvements.
Je m’agrippai à mon cousin qui, immobile contre moi, caressait ma gorge et me baisait doucement le visage.
- Ma douce cousine, souffrez-vous donc ?
- Je… un peu, mon cousin, un peu, mais j’ai aussi tant de plaisir…
- Et moi donc, ma cousine, c’est un tel délice, votre corps abandonné entre deux vits, cette verge qui caresse la mienne en vous…
Il me devenait difficile de parler, mon corps commençant à m’échapper. Mes gémissements devinrent suppliques. Le prêtre me chuchota à l’oreille le début de l’oraison qu’il avait prononcée au cours de la cérémonie. « De profundis, clamo ad te, Domine… », ajoutant :
- Dites-le, madame, mais dites-le moi, à moi qui possède votre cul, qui suis en cet instant votre seul seigneur.
Il serrait violemment l’épaule de sa main libre, me pédiquant désormais avec bestialité, pressant puissamment son vit contre celui de mon cousin qui était toujours dans mon con.
- Dites-le, madame, dites-le !
- Je… Profondément pénétrée, je crie ...