La Vie de Solange, ou les mémoires de la Comtesse de *** (9)
Datte: 11/10/2022,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Mir, Source: Xstory
... s’égaraient sur lui, sur moi, sur nous, ne sachant plus que caresser.
Tous les deux perdus dans notre plaisir et nos désirs, nous ne le vîmes ni l’entendîmes arriver. Je finis par le remarquer, nous contemplant, le visage marmoréen.
Le prêtre.
Je poussai un cri étouffé.
Mon cousin cessa de me besogner, croyant m’avoir blessée. L’expression de mon visage, mon regard, le détrompèrent. Il tourna la tête et le vit à son tour.
Tétanisée, je ne savais que faire. Mon cousin non plus, manifestement. Nous restions figés, lui toujours en moi, devant cet homme qui ne réagissait pas, se contentant de nous observer, inexpressif.
Le cœur battant, je songeai à ce que m’avait déjà coûté mon imprudence lorsque mon frère nous avait surpris. Que ferait donc cet homme, représentant d’une religion qui condamnait sans merci ce que nous faisions, sans parler de ce que pensait la société d’une femme adultère ?
Il finit par s’avancer.
- Monsieur, prenez la place de madame, mi-assis contre à la demi-bonnetière. Madame, placez-vous devant. Non, n’interrompez pas votre fornication, contentez-vous de changer de place.
Nous nous exécutâmes sans un mot. Nous ne savions ce qu’il voulait, mais notre position – tant physique que morale – nous soumettait à lui : il avait le pouvoir de nous détruire, de bien horrible façon.
Je me trouvais donc toujours enfichée sur la verge de mon cousin, tournant le dos au prêtre.
J’entendis un bruit de tissu, avant de sentir ses jambes se ...
... plaquer aux miennes et ses mains se poser sur ma taille. Je manquai alors de crier de surprise. Je reconnaissais cette poigne, cette peau sur la mienne m’écartant les fesses, et surtout ce parfum délicat et un peu entêtant émanant du corps derrière moi. Je retrouvais les sensations qui accompagnaient, deux fois par mois, l’homme chargé de m’engrosser.
Haletant d’anticipation, je l’aidai à m’écarter les fesses et à positionner sa verge contre mon oeillet. Mon geste devança ma pensée, je ne savais, sur le moment, pourquoi je faisais davantage que me résigner à la situation : je l’accueillais avec plaisir, avec désir, avec délices. Cet homme avait su quelques fois me faire jouir lorsqu’il me prenait, malgré les circonstances. Etait-ce pour cela ? Etait-ce l’habitude de me voir soumise à lui dans un but purement utilitaire, l’engrossage, qui rendait autrement plus attrayante la perspective de le voir me prendre pour le seul plaisir, puisqu’en me sodomisant il contrevenait aux instructions de mon époux ? Etait-ce de le connaitre, d’être connue de lui hors la présence et la volonté du Comte ? Etait-ce de pouvoir me donner librement à lui ?
Je ne savais. Je m’offris donc comme mon corps le réclamait, l’exigeait, du moment où le parfum mystérieux avait frappé mes sens, du moment où les mains délicates mais fermes avaient pris possession de moi.
Mon cousin constata ma réaction mais se méprit sur son sens.
- Ma belle cousine, cela vous plait-il ? Vous faire besogner par deux ...