Lana s'éveille, Alan le retour - Histoires de Sexe

Lana s'éveille, Alan le retour

... passive et obéissante, je ne prends pas d’initiative, sauf pour une simple caresse furtive. Ce matin-là, je m’éveille et m’apprête à prendre son sexe en bouche pour sa gâterie matinale, mais ma bouche l’esquive.

Étrangement mes lèvres ignorent ce braquemart et se pose sur son pubis, j’y dépose une abondance de baisers gourmands humides puis ma langue glisse vers son nombril, le titille.

J’effleure de mes mains son bassin avant de cheminer jusqu’à sa poitrine, j’énerve ses tétons de la pulpe des doigts. D’une sensuelle reptation, mon corps recouvre lentement le sien, mes lèvres aspirent un téton, le lèchent, le mordille, avant de fondre en baisers sensuels dans son cou et d’assaillir sa bouche dans un baiser passionné.

Je multiplie mes attouchements lascifs et voluptueux. Cette débauche de caresses m’excite énormément.

Je sens sa puissante érection contre ma cuisse, il bande comme un fou, stoïque telle une idole recevant une offrande, il savoure les caresses de sa femelle androgyne.

Un instant plus tard, je reprends mon chemin vers son dard et le soulage de sa tension matinale.

Voilà une innovation : je prends des initiatives sensuelles, je ne suis pas qu’une passive soumise à ses envies. Ma libido est en ébullition depuis mon premier orgasme, jamais je n’ai été dans un tel état, cette initiative charnelle en est la preuve.

Samedi huitième jour. Belle journée, fidèle aux précédentes, encore beaucoup de sexe, je suis volontaire à toutes ses sollicitations. ...

... Vous concevrez sûrement que mon investissement sexuel est total, durant cette journée je n’hésite pas à le provoquer, ma véritable satisfaction reste de le faire jouir.

Dans la soirée de cette ultime journée, après un dîner sympathique et pas mal de Chablis. Nous sommes au salon, Philippe avachi, endormi dans un canapé, devant une VHS, je suis à ses côtés sur l’accoudoir, une main dans ses cheveux et l’autre sur sa lance émoussée, je le câline gentiment.

Notre dernière soirée, demain nos petites vacances se terminent. Ce huis clos intime bouleversant et intense fut une expérience sexuelle exaltante et novatrice. Un peu nostalgique, je ne sais pas quand où je revivrai un moment pareil et peut-être que cela ne se reproduira jamais.

Les grandes vacances, je pars avec mes parents dans la maison familiale sur l’île de Ré et Philippe lui à Biarritz, nous ne nous reverrons qu’en septembre.

Cette bouffée mélancolique me fait ressentir un besoin absolu de jouir de ces derniers instants. Son sexe relâché comme rarement, repose sur le coussin du canapé, je me glisse entre ses jambes, sans le toucher.

J’approche délicatement mes lèvres, de cet organe inerte, ma langue relève son gland et d’une aspiration soutenue je l’engloutis, je salive sur ce fruit qui doucement sort de sa léthargie.

J’engloutis davantage ce dôme sodomite, je le cajole, le turlutte des lèvres et de la langue, la bête s’éveille. Je la couche sur son ventre, je lèche toute sa longueur du haut vers le ...