1. Happy birthday, dear Bérénice !


    Datte: 19/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Iovan, Source: Hds

    ... avec une grande douceur, les posa sur les miennes. De sentir le contact de sa jolie bouche m'électrisa. Je laissai mes lèvres entrouvertes et pointai doucement ma langue qui rencontra la sienne suave et tiède, elle avait un goût de fruit... nous sommes restés ainsi un grand moment, dans ce long baiser étonné, doux et tendre, tout en pudeur, en retenue.
    
    Nous nous séparâmes avec délicatesse et j'entendis ma splendide maîtresse soupirer un doux « Ooh !» qui me ravit. Edmond regardait sa femme avec des yeux éperdus d'amour. Elle était heureuse, cela seule comptait.
    
    Je ne pouvais détacher mon regard de Bérénice: son corps, son visage, ses yeux, sa bouche, tout en elle était un don du ciel. Je n'avais vu d'aussi belles femmes que sur papier glacé.
    
    Je remerciai intérieurement Öskan de m'avoir permis de la rencontrer. Edmond nous invita à passer côté salon près de la cheminée. Il avait fait venir de chez Lenôtre une quantité de mets délicats et il partit organiser le souper d'anniversaire. Alors qu'il était en cuisine, nous étions assis sur le sofa de cuir, essayant de nous découvrir. Doris Day chantait "Again" de sa voix chaude et caressante... un bonheur...
    
    Je la buvais des yeux, m'émerveillant à chaque seconde de la beauté qui émanait d'elle.
    
    — Comme tu es belle maîtresse ! Comme tu es belle ! Je m'en voulais d'être aussi stupide et plat !... J’étais subjugué.
    
    — Tu es gentil. Tu es très beau aussi. Nous allons bien nous entendre, n'est-ce pas ?
    
    — Oui, ...
    ... maîtresse chérie. Fais de moi ce que tu veux. Je suis à toi. Je t'appartiens.
    
    Ah ! Mein Lieblingsgeschenkt* ! Tu m'as si joliment embrassée... Tu restes ce soir... J'ai envie de faire des folies avec toi. Elle s'était approchée et caressait mon sexe.
    
    — Qu'est-ce que tu aimes ?
    
    — Tout. J'aime tout dans le sexe ! Le sexe, ça n'est pas sale... sauf quand c'est bien fait ! Citant Woody Allen, ce que je me gardai bien de lui dire.
    
    Elle sourit. Puis, les questions se précipitèrent, elle voulait tout savoir ! Tu aimes te faire prendre ? Par une femme ? Tu l'as déjà fait ? Tu as déjà pris des godemichés ? Tu en possèdes ?
    
    — Oui, non, non oui...
    
    Puis elle me dit, me regardant intensément avec un air sauvage :
    
    — J'ai l'intention de te fister, tu sais...
    
    — Je sais que c'est pour ça que je suis ici. Et j'en ai très envie, chérie...
    
    — Oh...! Tu es un amour ! J'en ai tellement rêvé...! Aussi brusquement qu'elle s'était emballée, elle s'était radoucie et redevenait la tendre Bérénice.
    
    Elle se pencha pour m'embrasser. Cette fois dans un baiser passionné pendant lequel je la laissai à loisir fouiller ma bouche de sa langue agile, lui montrant mon entière soumission à ses désirs. Je glissai, à ce moment, une main sous la minijupe de cuir et caressai le haut de ses cuisses au-dessus du porte-jarretelles. Elle s'enfonça dans le sofa et écarta les jambes, me facilitant l'accès à son trésor ruisselant. J'écartai le voile mouillé de la fine culotte de dentelles et caressai ...
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