1. Happy birthday, dear Bérénice !


    Datte: 19/09/2022, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Iovan, Source: Hds

    ... avec délicatesse son tendre bourgeon, ce qui la fit gémir doucement. Je caressai délicatement ses lèvres et insinuai deux doigts dans sa douce chatte inondée de cyprine. Ses yeux roulaient derrière ses paupières closes. Elle haletait. Je retirai mes doigts de son antre brûlant et quand elle rouvrit les yeux, les portai à ma bouche et les léchai avec délectation. Ma main reprit le même chemin, je m'immisçai à nouveau dans son sanctuaire trempé de cyprine.
    
    Elle eut un long soupir et quand je portai mes doigts à ses jolies lèvres, elle les suça avidement avec un gémissement de bonheur, ses beaux yeux suppliants et étonnés.
    
    Puis elle me regarda avec un sourire carnassier et m'embrassa ardemment. Je devinai que dans le ciel pur de Bérénice, éclataient parfois des fulgurances d'éclairs d'orages et que se levaient de ténébreuses zones de tempêtes crépusculaires et impénétrables...
    
    Alors, Capitaine courageux ! On joue les enfants gâtés !... Tu te dégonflerais ?
    
    Absorbés par nos caresses et émerveillés de nous découvrir, nous n'avions pas entendu Edmond arriver, poussant un chariot chargé des mignardises. Bérénice eut un petit rire gêné.
    
    Edmond montrait une mine joyeuse et enjouée et en maître de cérémonie compétent, nous servait vodka glacée, coupes de champagne, caviar, foie gras, saumon sauvage d' Écosse et autres délicatesses de circonstance. Bérénice grignotait et trempait de temps à autre ses lèvres dans une coupe... je ne pouvais arrêter de la contempler, ...
    ... envoûté. Chacun de ses gestes me semblait un enchantement. Nous plaisantions, Edmond et moi, et malgré ce que la situation avait d'incongru, nous essayions d'emmener dans un tourbillon de joie festive, celle dont nous étions tous les deux, différemment, mais totalement amoureux.
    
    Elle était ailleurs... et je savais où.
    
    Edmond se pencha à son oreille et lui murmura quelques mots que je n'entendis pas.
    
    — Tu as raison, mon Edmond. J'ai besoin de repos et de détente. Viens chéri !
    
    lle me tendit la main et nous montâmes l'escalier de métal qui montait à l'étage. Je ne voulais pas regarder Edmond. Nous débouchâmes sur un palier couvert d'une épaisse moquette écrue qui donnait sur une volée de portes. La belle se retourna alors sur moi, et m'embrassant avec passion.
    
    — J'ai cru que ça ne finirait jamais... Viens vite ! J'ai hâte de pouvoir enfin déballer... emballer...? Mon cadeau...
    
    — Tu veux bien que je prenne une douche, ma maîtresse ? Juste une minute.
    
    — Vas-y, c'est là ! Elle m'ouvrit une porte. Prends une serviette dans le meuble. Fais vite ! Je t'attends... elle me montra une porte à gauche sur le palier. Ici !
    
    Je m'aspergeai d'eau froide, frissonnant sous les jets toniques. Je me séchai rapidement, impatient de retrouver ma magnifique maîtresse. Elle était étendue, nue sur l'immense lit tendu de draps de satin. Elle avait gardé ses bas et son porte-jarretelles... classique ! mais sublimement érotique.
    
    La chambre était aménagée avec luxe... le décor ...
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