1. Psychanalyse


    Datte: 18/09/2022, Catégories: fh, médical, amour, strip, BDSM / Fétichisme caresses, Oral pénétratio, gifle, délire, Humour fantastiqu, fantastiq, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... un coussin moelleux comme un petit garçon qui va déballer son cadeau de Noël, elle se tient debout devant moi, rougissante. Je fais descendre la jupe. Je n’ai d’yeux que pour cette petite barrière de tissu fleuri qui me rappelle celui qu’elle porte sur le visage. Le masque coordonné à ses sous-vêtements, la classe !
    
    Religieusement, je fais descendre ce voile printanier le long de ses longues jambes, me retrouvant nez à nez avec le jardin d’Éden, face à Shangri-La, aux portes de l’Empyrée. Pour tout dire, une adorable toison blonde, un triangle d’or surmontant un merveilleux et timide sillon.
    
    Que de beauté, je ne sais où donner du regard et des mains. De ses tétons tellement roses qu’ils me semblaient diaphanes, diaphanes, mais bien gros et tendus. Je fourre mon nez dans son fin duvet, à l’odeur de bergamote et jasmin.
    
    Je pose mes lèvres sur les siennes, les si intimes. Je la plaque contre ma bouche en lui agrippant les fesses, elle en ronronne de plaisir.
    
    Mes lèvres sur ses lèvres ? Au diable les gestes barrière !
    
    Ses genoux se dérobent sous elle, je jette quelques coussins par terre et l’allonge dessus. Je mordille ses mamelons, elle gémit. Je reviens à sa Toison d’Or et sa Porte des Délices, sa respiration se fait chaotique.
    
    Je goûte enfin son ambroisie qui se déverse dans ma bouche, elle tremble tout en tenant de propos saugrenus :Ce couillon de Freud, ce connard arrogant !
    
    Je risque deux doigts dans son antre chauffé à blanc et ma jolie psy se met à ...
    ... onduler, à se trémousser et agiter les jambes en tous sens, puis m’enserre la tête entre ses cuisses. J’étouffe, certes, mais quelle façon divine de quitter ce bas-monde !
    
    Au terme de trente secondes de pure folie, elle se laisse aller sur les coussins tout en soupirant de contentement. Je repte⁽⁵⁾ le long de son corps et m’approche ainsi de son visage.
    
    Nous échangeons quelques baisers voluptueux avant que je ne lui pose une question qui me taraudait :
    
    — Pourquoi tant de haine envers ce bon Dr Freud ?
    — Parce que ce crétin a décrété que le clitoris ne servait à rien. Tu te rends compte, il en tenait une couche !
    
    J’éclate de rire devant son indignation, bien légitime à mon avis.
    
    — Je suis heureux de t’avoir aidée à rétablir la vérité.
    
    Puis sa main vient se poser sur mon sceptre qui se dresse tel un Moai de l’île de Pâques.
    
    — Oh, mon pauvre choupinet, personne ne s’occupe de toi, hein, tu n’en as rien à faire de Sigmund.
    
    Elle discute avec ma queue comme avec un chiot ou un chaton tristounet. Elle dépose un baiser mouillé sur la tête de la statue, un petit coup de langue par-ci, un autre par-là. Elle fait tournoyer sa langue tout autour avant de gober le tout jusqu’au fond de sa gorge.
    
    Je ne vois que sa tête qui va-et-vient, mais quelle sensation mes aïeux, surtout quand elle m’agrippe les joyeuses et les pressa comme des citrons bien mûrs.
    
    Puis ce fut elle qui met fin à cette pratique. Je fais la moue comme un enfant à qui l’on retire son dessert, ...
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