1. Psychanalyse


    Datte: 18/09/2022, Catégories: fh, médical, amour, strip, BDSM / Fétichisme caresses, Oral pénétratio, gifle, délire, Humour fantastiqu, fantastiq, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... mais me ravise bien vite.
    
    Ombeline, à califourchon au-dessus de mon bas-ventre, tient entre ses doigts mon mât de cocagne et le fait disparaître en elle.
    
    Plaisir des yeux de voir mon arbre de vie entrer dans ce doux fourreau et en distendre les parois, de voir ces petits melons s’agiter devant moi.
    
    Plaisir des mains que de les caresser. Plaisir de croiser son regard alors qu’elle monte et descend tel un joli ludion. De l’hydromel ruisselle de sa grotte sacrée et oint mes joyeuses.
    
    Son sourire s’élargit au fur et à mesure de ses allées et venues. Son regard mutin se voile, le mien ne doit pas être en reste, au bout de quelques minutes de ce traitement elle se met à pousser de petits cris, je la sens se resserrer autour de moi.
    
    Je n’y tiens plus, je largue les amarres sans l’attendre, elle est trop efficace pour moi. Il faut dire que je viens de subir de rudes épreuves, d’abord un striptease bouillant, puis un broute-minou incandescent et enfin une turlute d’anthologie. Le petit père du peuple n’en pouvait plus d’attendre.
    
    — Nooon, nooon, se lamente-t-elle en me sentant lui repeindre la salle des fêtes.
    
    Mais en femme de tête, elle s’entêta et parvint à ses fins avant que je ne me ridiculise. Elle se plante mon dard au plus profond de ses entrailles, s’acharne sur son clitoris pour finir par me rejoindre dans le plaisir. Je l’y aide un peu en lui malaxant les tétons.
    
    — C’était moins une, mais on a réussi. Deux orgasmes en moins d’une demi-heure, c’est une ...
    ... bonne moyenne. Je mesurerais celui-ci à 7 sur l’échelle du plaisir.
    
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    Voilà pourquoi, quelques minutes plus tard nous nous tenons serrés l’un contre l’autre, à nous faire des papouilles.
    
    Alanguie contre moi, je la caresse et l’admire, elle ressemble à une chatte qui vient de faire un sort à un pot de crème fleurette.
    
    À cet instant, je perçois les variations de couleurs sur sa peau.
    
    — Je ne sais si tu t’en es rendu compte, mais tu es bicolore.
    — Qu’est-ce que tu racontes ? Laisse-moi me regarder dans un miroir… nom d’une pipe, c’est vrai !
    — Oui, regarde, là, là et là, tu es plus pâle.
    
    Je désigner son ventre et ses seins, tout blancs, signe qu’elle ne pratique pas le bronzage intégral.
    
    Je lui caresse aussi le nez, les joues et le menton.
    
    — À cause du masque, tu deviens blanche là aussi, alors que ton front est tout bronzé.
    — Non, c’est pas vrai, se lamente-t-elle en se relevant et se mirant dans une glace.
    
    De par sa position je me trouve face-à-fesses avec son joli popotin, tout blanc, musclé, bombé, bref apetissant. Je n’ai pas encore admiré son côté pile, tout à notre frénésie initiale.
    
    — C’est tout blanc !
    — En effet, dis-je en lui caressant une fesse.
    — Tu ne penses qu’à ça, hein ?
    — Quand tu me les poses devant mon nez, je ne pense qu’à elles.
    — Comment les trouves-tu ?
    
    Une femme, si jolie soit-elle, fera toujours un complexe sur son cul. Est-il trop gros, trop petit, en goutte d’huile ? Même le plus joli mannequin fait un ...