Belle-sœur de l'Empereur - 3 - Histoires de Sexe

Belle-sœur de l'Empereur - 3

... en train de découvrir un nouveau jouet. Il s’amuse littéralement avec le bouton rose, le taquine, le câline afin d’en observer toutes les réactions sur le corps de sa femme qui se laisse faire passivement, mais qui n’arrive plus à réprimer les soupirs d’aise et de satisfaction. Elle aussi semble avoir franchi un certain cap :

— Oooh… oh oui… oh non… oooh…

De mon côté, je m’amuse avec les tétons tendus, les caressant, les pinçant, les vrillant. Ludwig décide de m’aider, s’emparant du sein le plus proche et imitant ce que je fais subir à sa femme. Ce faisant, il pose carrément sa verge bien raide sur le ventre blanc et mou de Lugdiwina.

À ce contact, celle-ci s’exclame faiblement :

— Que me faites-vous là, Ludwig ?
— J’apprends à jouer de votre instrument, ma chère…
— Je… je ne parlais pas de ça… mais de ce vous venez de poser.
— Ah ça ? Je dois reconnaître que vous faites un très agréable coussin pour mon vit !
— Oh !

Interrogatif, il s’adresse à moi :

— Ai-je bien fait ou ai-je mal fait ?
— La règle est le plaisir, à condition que ça ne lèse pas votre partenaire. Aimez-vous poser votre verge ainsi sur sa peau ?
— Oui, j’aime beaucoup !
— Pensez-vous léser votre partenaire en faisant ça ? Lui couper les moyens de sa jouissance ?
— Je ne pense pas… Peut-être qu’elle n’aime pas trop cette familiarité, mais je constate qu’elle frémit toujours sous nos caresses…

Pour toute réponse, je lui adresse un large sourire de connivence qu’il comprend aussitôt. ...

... Néanmoins, j’en profite pour préciser :

— Les lèvres disent parfois autre chose que le corps… N’est-ce pas, Lugdiwina ? Franchement, détestez-vous ce que nous vous faisons ?
— Je… je… euh oui… oui, j’aime…
— Cette verge sur votre ventre ne vous procure pas elle aussi d’autres frissons ?
— Euh… si…
— Alors, dites-le, Lugdiwina…
— Que… que je dise quoi ?
— Dites que vous aimez cette verge bien dure sur votre ventre, que vous aimez la torture de vos seins, que vous aimez le tourment infligé à votre clitoris ! Commencez par la verge !

Figée sur place, elle tremble. J’insiste :

— Allez, Lugdiwina ! Dites que vous aimez cette verge bien dure sur votre ventre !
— Je… j’aime ce… cette verge bien dure sur… sur mon ventre.
— Mieux que ça !
— Je… j’aime cette verge bien… bien dure sur mon ventre.
— Mieux que ça !
— Oui, j’aime cette verge bien dure sur mon ventre !

Ludwig sourit, il est flagrant qu’il adore entendre sa femme professer pareille chose. Je me penche à l’oreille de Lugdiwina, lui murmurant quelque chose. Comme je m’y attendais, elle rougit. Ludwig nous regarde, assez intrigué. Après quelques tergiversations, son épouse finit par lancer :

— Oui, Ludwing, j’aime votre verge bien raide sur mon ventre.
— Je suis très heureux de vous l’entendre dire, ma chère épouse.

Je le gronde gentiment :

— Ma chère épouse… Pff, on croirait entendre parler le Grand Chambellan !
— Que voulez-vous que je dise ?
— Soyez plus gentil ou soyez plus cru. Ma chérie, ...