Belle-sœur de l'Empereur - 3
Datte: 10/09/2022,
Catégories:
fh,
ff,
ffh,
alliance,
Voyeur / Exhib / Nudisme
caresses,
intermast,
Oral
69,
pénétratio,
confession,
historique,
historiqu,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... ainsi que des souhaits, ce que j’aurais aimé vivre, si j’avais pu remonter les aiguilles du temps.
Entre-temps, sur mes conseils, Ludwig s’aventure à caresser délicatement sa femme qui frémit doucement. Il est visible sur son visage que la situation la dépasse, ce qui ne m’étonne pas d’elle, ma souveraine a une tendance naturelle à se noyer dans un verre d’eau quand elle se retrouve plongée dans un contexte qu’elle ne connaît pas.
De son côté, Ludwig nage comme un poisson dans l’eau, amusé par notre étrange trio. La nuisette de son épouse ayant été largement repoussée sur ses cuisses, sans oublier une échancrure qui révèle nettement plus qu’elle ne cache…
Totalement écarlate, Lugdiwina proteste faiblement :
— Ne… ne me regardez pas… je… j’ai honte !
Je rebondis sur sa prière bien inutile, son époux semble décidé à aller jusqu’au bout :
— Pas de souci, ma chère Lugdiwina, je vais vous bander les yeux !
— Me bander les yeux !
Réjoui par l’idée, son mari intervient :
— Bonne initiative !
Quelques instants plus tard, l’Impératrice se retrouve avec un foulard sur les yeux, tandis que je guide les mains de son auguste mari. Celui-ci se montre élève appliqué, même s’il lorgne très souvent sur ma nuisette transparente. Il est vrai que, s’il fait la comparaison entre sa femme et moi, sans avoir à me vanter, j’ai divers avantages comme la jeunesse, une beauté ferme et beaucoup moins de blocages.
Néanmoins, Lugdiwina reste une belle femme avec un séant ...
... qui semble très accueillant, des seins lourds un peu tombants, mais que bien des hommes aimeraient cueillir et croquer. De plus, sa peau est restée douce et fort agréable au contact. J’en sais quelque chose puisque c’est moi qui expliquein situ où il convient que les doigts et les paumes passent.
— Oui, comme ça… doucement, légèrement… sachez prendre votre temps.
Même si Lugdiwina proteste parfois, elle soupire faiblement, gémissant de plus en plus. Parfois sa peau se hérisse, preuve évidente qu’elle n’est pas indifférente.
Au bout d’un certain temps, nous sommes à deux à faire glisser nos lèvres sur son corps offert, à deux à palper, à caresser, à saisir cette blanche chair de nos mains, à nous enhardir. Et Ludwig sait prendre parfois des initiatives. L’image qui me vient en tête est celle d’une petite boule de neige qu’on lance du haut de la montagne qui se transforme peu à peu en avalanche plus bas, dans la vallée.
En parlant de vallée, je suis en train d’expliquer comment caresser un certain bosquet et aussi une petite chose rose très sensible. Mon élève m’observe attentivement, il est presque déçu quand je lui cède la place. Les hommes ont souvent le fantasme de deux femmes ensemble.
En tout cas, Ludwig possède une trique d’enfer à lutiner sa femme, et voir celle-ci frémir, onduler sous nos caresses l’excite au plus haut point. Plusieurs fois, je l’ai vu pincer de ses doigts la base de sa verge pour empêcher un écoulement trop soudain.
On dirait un enfant ...